Neuchâtel (Canton)

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            345 Archivische Beschreibung results for Neuchâtel (Canton)

            5 Ergebnisse mit direktem Bezug Engere Begriffe ausschließen
            Église, à Peseux : détails constructifs divers
            0120.04.0044 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Détails constructifs (1/10 et 1/1) pour les bancs, le lanterneau, les fenêtres et les portes ainsi que pour l'escalier tournant. Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
            Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
            Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
            Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
            Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
            Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
            Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
            Werk Heft 6, Juni 1957

            0120.04.0045 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.

            Église, à Peseux : rendu du concours
            0120.04.0047 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Rendu du concours pour la construction de l'église catholique de Peseux sur papier fort, vue perspective à vol d'oiseau avec la chapelle et deux maisons prévues à l'arrière. Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
            Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
            Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
            Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
            Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
            Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
            Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
            Werk Heft 6, Juni 1957

            0120.04.0048 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            plans, coupes et façades (1/50) pour la restauration de ce palais, élévations montrant les pierres à remplacer. L'hôtel Du Peyrou est le plus beau palais urbain de Neuchâtel, révélateur de l'influence du classicisme dans cette ville aux 17e et 18e siècles. La coupe est intéressante, avec une adaptation très sensible au sol en forte dénivellation à cet endroit. Dans les environs subsiste l'orangerie et une portion du parc aujourd'hui transformé en jardin urbain. Le reste à été loti.

            0120.04.0049 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Coupes, plans et façades (1/50), détails de construction. Cette maison familiale construite sur un terrain en forte pente est caractérisée par la radicalité du parti d'implantation dicté de cette contrainte. A l'arrière, côté rue, la maison s'accroche au terrain alors qu'à l'avant, elle s'en affranchit par l'intermédiaire d'une puissante infrastucture de béton qui porte l'étage habitable. Au niveau supérieur, les combles abritent le garage, accessible en façade du fait de la toiture à un pan et relié à la rue par une passerelle. L'appartement, en dessous, est concentré sur un seul niveau; son organisation trahit un souci d'économie des surfaces, en particulier les surfaces de circulation. A l'étage inférieur son regroupés les caves et locaux techniques, ainsi qu'un espace couvert sous la dalle de l'appartement daont la surface est plus grande.

            0120.04.0050 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Située dans une pinède, la générosité du programme de cette maison de week-end révèle l'intense activité sociale du maître del'ouvrage. Le volume principal est couvert d'un toit à un pan, avec tuiles de terre cuite, auquel sont adjoints deux annexes en appentis: la terrasse couverte et le garage double. Les façades présentent une alternance d'éléments en béton et en enduit, alors que la construction (murs, dalles et toiture) est réalisée entièrement en béton. Cette caractéristique est justifiée notament pour les grandes portées nécessaires aux baies vitrées et aux retraits de façades côté jardin: au rez, un décrochement autorise une terrasse couverte, elle-même prolongée par un abri couvert. En contraste, à l'étage, les nombreuses chambres ne disposent que de petites fenêtres régulières, avec volets. Dans les angles de la maison, les murs coupe-vent forment un cadre avec l'avant-toit dont la matérialisation révèle discrètement la carcasse structurelle de béton inhabituelle dans un programme domestique. L'aménagement intérieur, à commencer par la configuration du plan, est un des ensemble les plus moderne réalisé par les architectes, comme en témoignent l'escalier avec marches encastrées en porte-à-faux ou la cheminée avec âtre et manteau métalliques dissociés de la maçonnerie.

            0120.04.0051 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.

            0120.04.0052 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.

            0120.04.0053 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Dossier complet de plans, coupes et façades (1/50), ainsi que des détails de construction. Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.

            École, à Marin-Epagner : contrecalques
            0120.04.0054 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            complète le dossier 0120.04.0053, contrecalques de l'immeuble "le serpent" pour la société immobilière Maigrauge SA. Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.

            0120.04.0056 · Akt(e) · 1959-1967
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            plans, coupes et élévations (1/50), détails constructifs, quelques plans égarés provenant d'autres projets: dessins des portes et fenêtres de l'ancienne cote GRC et cheminée de l'ancienne cote MFF. Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.

            École, à Marin-Epagner : documents techniques
            0120.04.0057 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.

            0120.04.0060 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Dossier complet de plans d'execution. Ce projet est l'oeuvre Béate Billeter seule; il est conçu dès 1958 pour la préparation de l'exposition SAFFA à Zurich et fait largement appel aux éléments préfabriqués. Il a finalement été modifié et réalisé à Cressier, sur une parcele au bord de la Thielle, pour Monsieur Jeau Grisoni, directeur de l'entreprise Matériaux SA. Construite sans sous-sol et ne comportant qu'un rez de jardin couvert d'un toit plat, cette maison familiale de type pavillonnaire n'est pas sans évoquer les villas californiennes construites à la même époque, ou surotout certaines réalisations antérieures de Rietveld en Hollande par exemple. Cette architecture est caractérisée notamment par la volumétrie basse et clairement horizontale, par le plan généralement articulé en L ou en T, par la distribution intérieure fluide et peu cloisonée et surtout par le dimensionnement et l'emplacement des baies vitrées et des couverts extérieurs qui créent un rapport étroit entre l'intérieur et le jardin (le graphisme choisi pour représenter les aménagements paysagers en témoigne) et qui accentue la fluidité des espaces intérieurs.

            0120.04.0061 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Façades (1/50), 1 dessin de calepinage des éléments de façade et leur identification. Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.

            École, à Marin-Epagner : détails constructifs
            0120.04.0062 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Ce projet est une extension moderne de béton réalisée devant l'ancien collège en style suisse. Le nouveau bâtiment est un volume composé de deux ailes en équerre; l'une abrite des salles de classe modulaires, l'autre la salle de gymnastique. Le préau, défini sur un de ses côtés par l'ancien bâtiment et sur deux autres par l'extension nouvelle, présente une délimitation spatiale originale. En effet, l'étage de l'extension, qui abrite les classes, est d'une surface plus grande que celle du rez de chaussé dévolu aux fonctions annexes (locaux de service, vestibules d'entrée). Il en résulte qu'en plusieurs secteurs, l'étage, porté par de puissants pilotis fuselés qui répètent le rythme des modules de classe, flotte dans les airs et ménage des tronçons de transparence à travers le bâti. Le soin apporté à la modénature des modules ainsi qu'aux baies vitrées, de même que les détails d'exécution du béton en façade (corniche, bouchons de précontrainte), a malheureusement disparu sous un revêtement maladroit apporté lors d'une transformation récente.

            Église, à Peseux : dessins
            0120.04.0064 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Dessins en lien avec la construction de l'église. Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
            Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
            Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
            Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
            Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
            Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
            Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
            Werk Heft 6, Juni 1957

            0120.04.0065 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.

            0120.04.0069 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.

            0120.04.0071 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.

            Église, à Peseux : documents divers
            0120.04.0073 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Divers documents relatifs au projet, entre autres une belle axonométrie du système porteur par chevalets. Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
            Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
            Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
            Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
            Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
            Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
            Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
            Werk Heft 6, Juni 1957

            0120.04.0074 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            deux contrecalques de la façade et un relevé. L'hôtel Du Peyrou est le plus beau palais urbain de Neuchâtel, révélateur de l'influence du classicisme dans cette ville aux 17e et 18e siècles. La coupe est intéressante, avec une adaptation très sensible au sol en forte dénivellation à cet endroit. Dans les environs subsiste l'orangerie et une portion du parc aujourd'hui transformé en jardin urbain. Le reste à été loti.

            0120.04.0075 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Plans et coupes d'exécution. Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.

            Salles de gym "Pierre-à-Mazel", à Neuchâtel
            0120.04.0076 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Complète 0120.04.0075. Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.

            0120.04.0092 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.

            Maison Heyd, à Wavre : plans, coupes
            0120.04.0101 · Akt(e) · [s.d.]
            Teil von BILLETER Béate et Maurice

            Plans, coupes. Cette maison présente une volumétrie relativement complexe, en particulier la toiture à pulsieurs pans, décallés au faîte ou inversé, qui n'est pas sans ressemblance avec certaines maisons particulières réalisées antérieurement au Tessin par Rino Tami. Dans une telle configuration, les pignons se donnent à lire comme façades principales, cas peu fréquent dans l'oeuvre des architectes. Les ouvertures forment une composition aléatoire en équilibre asymétrique et sont disposées selon leur fonction: fenêtres pour les chambres, baies vitrées abritées d'avants-toits pour le séjour, jours de souffrance pour les locaux de service. Le plan est clairement articulé: le vestibule traverse latéralement la maison et articule clairement le plan entre les pièces de nuit à l'est et les espaces de jour à l'ouest. Le séjour est surmonté d'une "librairie" en mezzanine.

            0121.04.0025 · Akt(e) · 25.10.1902
            Teil von BRUGGER Charles

            Cet ensemble provient du cartable N° 29 ayant contenu des documents concernant probablement l'activité de Charles Brugger chez Emil Faesch, architecte à Bâle, et éventuellement chez Prince et Béguin à Neuchâtel; comprend deux planches (plans, coupes et façades) pour ce concours. La participation de Prince et Béguin ou de Charles Brugger à ce concours n'est pas attestée par les documents.

            GAILLARD André
            0143 · Fonds · 1953-1995

            Archives techniques (plans) documentant toute l'activité professionnelle d'André Gaillard.
            Le fonds comprends également une collection photographique, en dépôt.

            Ohne Titel
            Boxes Services Industriels, à la Chaux-de-Fonds
            0143.04.0035 · Akt(e) · 28.07.1961 - 01.06.1962
            Teil von GAILLARD André

            Il d'agit de la construction de douze boxes à voiture. Dossier complet, avec plan de situation, extraits du cadastre et plans d'execution, échelles 1:100 / 1:500 / 1:50 / 1:20. Un calque a souffert de l'humidité (traces de moisissures).

            OBJET : Construction de douze boxes à voiture.

            Immeuble locatif, au Locle : projet
            0143.04.0056 · Akt(e) · 30.11.1953 - 01.12.1953
            Teil von GAILLARD André

            Ce dossier ne contient que quatre dessins et concerne deux avants-projets, échelle 1:200.

            OBJET : Projets d'immeubles locatifs non réalisés. Un des bâtiments comporte un rez-de-chaussée sans logement, quatorze étages et une cage d'escalier. Un deuxième projet prévoit un bâtiment plus bas (sept étages) pour cinq cages d'escalier. Les appartements vont du studio au 3 pièces (y compris la cuisine).

            Immeubles locatifs, à la Chaux-de-Fonds : projet
            0143.04.0057 · Akt(e) · [1950] - [1960]
            Teil von GAILLARD André

            Ce dossier contient trois avant-projets d'immeubles. Deux sont des tours, tandis que celui nommé "Fleurs Marais" est allongé tout en ne comptant que quatre étages. Echelle 1:200.

            OBJET : Trois avant-projets d'immeubles locatifs. Deux sont des tours (quinze et treize étages), tandis que celui nommé "Fleurs Marais" est allongé tout en ne comptant que quatre étages, les appartements consistant en des duplex.

            0143.04.0080 · Akt(e) · 22.03.1963 - 09.09.1963
            Teil von GAILLARD André

            Comporte deux rouleaux. Dossier constitué des documents relatifs au premier projet non réalisé du temple. Deux parties: 1. une série d'esquisses au feutre explorant plusieurs variantes pour le projet: variantes arrondies ou anguleuses (1 rouleau). Ces éléments, non datés, s'insèrent soit dans le contexte d'élaboration du premier projet, soit dans celui de la reprise du projet par la suite. De nombreuses esquisses portent des inscription telle que "Réduction longueur 20 cm - positif", indiquant qu'elles ont dû être reproduites. 2. La deuxième partie du dossier est constituée d'une série de documents concernant le premier projet et qui s'approchent déjà des plans d'exécution, malgré le fait que rien n'ait été réalisé à ce stade. Echelles 1:1000 / 1:200 / 1:100 / 1:50 / 1:10.

            OBJET : Un premier projet consiste en un bâtiment de forme ellipsoïdale dans lequel s'inscrit la salle de culte de plan carré. La couverture est constituée d'une dalle en béton de plan carré et concave. Les esquisses montrent qu'un bâtiment beaucoup plus anguleux a été envisagé.

            0143.04.0081 · Akt(e) · 04.12.1967 - 13.03.1972
            Teil von GAILLARD André

            Dossier complet, contenant une série d'esquisses préliminaires au feutre, stylo et crayon. Plans de courbes de terrain devant servir de base à une maquette. Le document le plus ancien consiste en un plan d'affectation de l'ouest de la ville, tandis que les plus récents sont relatifs aux modifications proposées pour le clocher en cours de travaux. Echelles 1:1000 / 1:500 / 1:100 / 1:50 / 1:20 / 1:5.

            OBJET : Bâtiment à l'architecture plastique et sculpturale caractérisé par une spirale sur plan elliptique et l'absence d'angles vifs ou droits. Un premier projet avait été élaboré pour le même lieu en 1962-63, avant d'être repris et réorganisé. Une série d'esquisses dans le dossier du premier projet comme dans celui de la réalisation permet d'avoir au moins un aperçu des différentes variantes envisagées dans un premier temps. Il y a également eu des modifications vers la fin des travaux (début 1972) concernant le clocher. Technique de construction dite de gunitage (béton projeté sur armature de treillis métallique et de polystyrène expansé) brevetée par Daniel Grataloup (concepteur des villas-coques). Les portes, les éléments de mobilier et de décoration comme les objets liturgiques sont signés du peintre-sculpteur Jean Latour, et les vitraux de dalles de verre sont l'oeuvre de Paulette Schwarz (informations tirées du guide de La Chaux-de-Fonds "Bon pied, bon oeil. Découvrez la ville en parcourant ses rues", La Chaux-de-Fonds, 1997).

            0143.04.0084 · Akt(e) · 30.01.1959 - 08.11.1966
            Teil von GAILLARD André

            Dossier complet, répartis en 4 rouleaux. Les détails de menuiserie occupent 1/4 du dossier. Les documents datant de 1959 à 1961 sont ceux de l'élaboration et d'avant-projet, tandis que le projet définitif est formé des pièces datées de 1963 à 1966. Echelles 1:1000 / 1:200 / 1:50 / 1:20 / 1:20 / 1:10 / 1:1.

            OBJET : Centre de l'Eglise réformée neuchâteloise composé de trois bâtiments articulés en équerre (un bâtiment principal et deux annexes) avec deux ailes de plan rectangulaire de part et d'autre d'un élément central de plan carré. Celui-ci, plus élevé que les ailes, donne au centre sa silhouette caractéristique avec une couverture à deux versants aménagés à la manière du tetraèdre-berlingot (l'arête possède elle-même une forte pente). De manière générale, les parties centrales des trois bâtiments sont destinées à un usage communautaire (le bâtiment principal comporte une chapelle) et possèdent trois niveaux (sous-sol, rez et galerie), tandis que les ailes (deux niveaux) sont occupées par les dortoirs, logements des employés et du pasteur ainsi que par les salles de bains. Il existe deux projets pour Le Louverain, le premier au Hauts-Genevey, le second au Geneveys-sur-Coffrane.

            Immeuble résidentiel, à Neuchâtel : projet
            0143.04.0124 · Akt(e) · 06.1969 - 08.1969
            Teil von GAILLARD André

            Concerne un immeuble locatif, composé d'esquisses au feutre collées sur des feuilles numérotées de papier cartonné. L'ensemble est assez fragile vu le conditionnement original (les esquisses se décollent très facillement. Echelle 1:200.

            OBJET : Projet d'immeuble sans localisation précise. Un document propose une situation à proximité du lac de Morat avec l'inscription Neuchâtel (Morat): possibilité que la localisation n'ait pas encore définie. les différentes esquisses élaborent une architecture organique, asymétrique, mais ne banissant pas les angles, pour des bâtiments s'approchant d'une forme pyramidale, pouvant également suivre un plan circulaire. Les appartements sont prévus pour être spacieux (entre 8 et 12 pièces, parfois en duplex), conçus comme un assemblage de différentes unités de vie. Les bâtiments proposés comportent généralement deux appartements par palier, sur quatre ou cinq niveaux.

            0143.04.0129 · Akt(e) · 1963
            Teil von GAILLARD André

            Dossier complémentaire comprenant uniquement des esquisses au crayon, feutre et encre, non signés et non datés. L'emballage original porte l'inscription "Temple Saint-Jean, Anciens croquis".

            OBJET : Un premier projet consiste en un bâtiment de forme ellipsoïdale dans lequel s'inscrit la salle de culte de plan carré. La couverture est constituée d'une dalle en béton de plan carré et concave. Les esquisses montrent qu'un bâtiment beaucoup plus anguleux a été envisagé.

            0143.04.0130 · Akt(e) · 22.05.1963 - 08.1968
            Teil von GAILLARD André

            Dossier complémentaire, comprenant plans, coupes et perspectives de la phase d'élaboration du projet définitif. Quelques documents appartenant au premier projet du temple Saint-Jean. Echelles 1:100 / 1:50.

            OBJET : Bâtiment à l'architecture plastique et sculpturale caractérisé par une spirale sur plan elliptique et l'absence d'angles vifs ou droits. Un premier projet avait été élaboré pour le même lieu en 1962-63, avant d'être repris et réorganisé. Une série d'esquisses dans le dossier du premier projet comme dans celui de la réalisation permet d'avoir au moins un aperçu des différentes variantes envisagées dans un premier temps. Il y a également eu des modifications vers la fin des travaux (début 1972) concernant le clocher. Technique de construction dite de gunitage (béton projeté sur armature de treillis métallique et de polystyrène expansé) brevetée par Daniel Grataloup (concepteur des villas-coques). Les portes, les éléments de mobilier et de décoration comme les objets liturgiques sont signés du peintre-sculpteur Jean Latour, et les vitraux de dalles de verre sont l'oeuvre de Paulette Schwarz (informations tirées du guide de La Chaux-de-Fonds "Bon pied, bon oeil. Découvrez la ville en parcourant ses rues", La Chaux-de-Fonds, 1997).

            0143.04.0145 · Akt(e) · 18.11.1966 - 1972
            Teil von GAILLARD André

            Concerne un groupe locatif, à l'état d'avant-projet. Parcellaires et plans d'ensemble. De nombreuses esquisse au feutre, crayon et à l'encre: études d'implantation, façades, coupes et études des plans d'étage. Echelle 1:1000 / 1:500

            OBJET : Il s'agit d'un projet d'un groupe d'immeubles locatifs. Les parcelles sont en majeure partie la propriété d'André Gaillard et ses frères. Les bâtiments projetés sont des tours (entre cinq et dix environ), avec une seule cage d'escalier chacune et quatre appartements par palier, du studio au 6 pièces. L'état d'avancement du projet ne permet pas d'en dire plus. Dans le même lieu, des projets conduits par le bureau Gaillard ont dû aboutir dans les années 90. après modification du plan de quartier Il devrait exister des photos de maquettes

            Groupe locatif La Grève, à Saint-Blaise
            0143.04.0189 · Akt(e) · 04.11.1971 - 14.05.1975
            Teil von GAILLARD André

            Dossier complet d'un groupe locatif, avec plans d'exécution et détails. Les plans d'exécution de l'immeuble A ne sont présents que sous forme de copies réduites. Egalement études plan masse et étage. Echelles1:1000 / 1:500 / 1:200 / 1:100 / 1:50 / 1:20 / 1:10 / 1:1.

            OBJET : Groupe de quatre bâtiments distincts. Pour les bâtiments A et B: un rez-de-chaussée avec deux logements ainsi que caves et abris, trois étages avec cinq appartements par palier et un quatrième étage avec quatre appartements, dont l'un possèdant une grande terrasse. Différence des bâtiments C et D: le quatrième étage est remplacé par un attique, avec deux appartements. Les logements: du studio au 4 pièces 1/2, en comptant la cuisine. Un premier projet, beaucoup plus ambitieux, prévoyait la construction de tout un quartier avec centre commercial, école, immeubles locatif (bâtiments bas et tours). Réalisé

            0143.04.0245 · Akt(e) · 08.02.1966 - 22.09.1986
            Teil von GAILLARD André

            Complément de dossier avec études plans masse et plans d'étages (esquisses au feutre). Un plan masse appartenant à un projet plus récent, en lien possible avec des projets réalisés dans les années 90. Echelles 1:1000 / 1:200.

            OBJET : Il s'agit d'un projet d'un groupe d'immeubles locatifs. Les parcelles sont en majeure partie la propriété d'André Gaillard et ses frères. Les bâtiments projetés sont des tours (entre cinq et dix environ), avec une seule cage d'escalier chacune et quatre appartements par palier, du studio au 6 pièces. L'état d'avancement du projet ne permet pas d'en dire plus. Dans le même lieu, des projets conduits par le bureau Gaillard ont dû aboutir dans les années 90. après modification du plan de quartier Il devrait exister des photos de maquettes

            Grand Hôtel Chaumont + Golf, à Neuchâtel
            0143.04.0266 · Akt(e) · 06.11.1970 - 16.03.1983
            Teil von GAILLARD André

            Dossier comportant plans topographiques, perspectives, études plans masse, élévations, plans d'étage (dont esquisses feutre, crayon et encre), et plans du projet final (plans d'exécution?). Echelles 1:1000 / 1:500 / 1:250 / 1:200 / 1:100.

            OBJET : Le projet final implique un bâtiment allongé sur 7 niveaux. Un socle de trois niveaux sur lequel repose deux unités mêlant dans leur silhouette la façade allongée rectangulaire basse, couverture plate, à des excroissances triangulaires dont la couverture est formée d'un seul versant d'une pente d'environ 45°. Deux unités plus ou moins nettement séparées. Une partie avec les éléments classiques d'un hôtel (2/3 de la surface): espaces publiques (restaurant, salons, hall), chambres individuelles, espaces de service. L'autre partie accueille des appartements, du studio au 4 pièces en duplex.

            Groupe locatif La Grève, à Saint-Blaise
            0143.04.0268 · Akt(e) · 19.10.1971 - 17.04.1975
            Teil von GAILLARD André

            Complément de dossier avec plans d'ensemble, études plans masse, de plans d'étage et élévation (esquisses feutre et encre), calculs surface, plans d'exécution du bloc A. Echelles 1:1000 / 1:500 / 1:200 / 1:100 / 1:50 / 1:20.

            OBJET : Groupe de quatre bâtiments distincts. Pour les bâtiments A et B: un rez-de-chaussée avec deux logements ainsi que caves et abris, trois étages avec cinq appartements par palier et un quatrième étage avec quatre appartements, dont l'un possèdant une grande terrasse. Différence des bâtiments C et D: le quatrième étage est remplacé par un attique, avec deux appartements. Les logements: du studio au 4 pièces 1/2, en comptant la cuisine. Un premier projet, beaucoup plus ambitieux, prévoyait la construction de tout un quartier avec centre commercial, école, immeubles locatif (bâtiments bas et tours). Réalisé

            Villa M. Gorgerat, à Colombier (NE)
            0143.04.0270 · Akt(e) · 29.03.1982 - 15.07.1982
            Teil von GAILLARD André

            Tubes 212 et 260. Dossier complet avec plans d'exécution. Certains plans définitifs ne sont conservés que sous forme de copies réduites. Echelles 1:500 / 1:200 / 1:100 / 1:50 / 1:20

            OBJET : Villa sur trois niveau au bord du lac de Neuchâtel: un sous-sol n'occupant qu'un tiers de la surface (abri et caves), un rez-de-chaussée avec trois unités de vie (deux chambres à l'arrière, une chambre sur le côté avec accès à une terrasse, et enfin l'espace commun: coin feu, séjour-salle à manger avec accès à la terrasse principale et cuisine sur le côté), un étage avec uniquement une galerie donnant sur le séjour et avec accès à une petite terrasse. Une galerie couverte fait le lien entre l'entrée de la villa et l'entrée de la propriété où se situe un garage pour deux voitures. Couveture à deux versants, dont la continuité est brisée par une rupture de pente à l'emplacement où aurait dû se situer le faîte.

            0143.04.0362 · Akt(e) · 23.05.1969 - 21.09.1970
            Teil von GAILLARD André

            Complément de dossier avec plans de situation, plans d'exécution et détails. Echelles 1:1000 / 1:100 / 1:50 / 1:20 / 1:10 / 1:5 / 1:1.

            OBJET : Bâtiment à l'architecture plastique et sculpturale caractérisé par une spirale sur plan elliptique et l'absence d'angles vifs ou droits. Un premier projet avait été élaboré pour le même lieu en 1962-63, avant d'être repris et réorganisé. Une série d'esquisses dans le dossier du premier projet comme dans celui de la réalisation permet d'avoir au moins un aperçu des différentes variantes envisagées dans un premier temps. Il y a également eu des modifications vers la fin des travaux (début 1972) concernant le clocher. Technique de construction dite de gunitage (béton projeté sur armature de treillis métallique et de polystyrène expansé) brevetée par Daniel Grataloup (concepteur des villas-coques). Les portes, les éléments de mobilier et de décoration comme les objets liturgiques sont signés du peintre-sculpteur Jean Latour, et les vitraux de dalles de verre sont l'oeuvre de Paulette Schwarz (informations tirées du guide de La Chaux-de-Fonds "Bon pied, bon oeil. Découvrez la ville en parcourant ses rues", La Chaux-de-Fonds, 1997).

            0143.04.0406 · Akt(e) · 01.06.1987 - 15.05.1995
            Teil von GAILLARD André

            Tubes 258, 259 et 261. Six rouleaux (trois petits et trois grands formats). Dossier concernant principalement les immeubles A et E du groupe locatif du Chemin Perdu, avec plans d'ensemble, études, plans d'exécution et détails. Echelles 1:500 / 1:100 / 1:50 / 1:20 / 1:10 / 1:5 / 1:2.

            OBJET : Groupe de plusieurs immeubles locatifs, le projet en comptant dix à la base (A à J). Seuls deux paraissent être décrits de manière approfondie et sont peut-être les seuls à avoir été réalisés (A et E). Immeubles allongés aux extrémités en biseau. Immeuble A: Un sous-sol, un rez inférieur, un rez supérieur, 3 étages. Trois cages d'escalier avec deux appartements par palier. Logements de 3 à 4 pièces sans la cuisine, tous traversant, avec balcon. Ce projet succède à l'opération Beaumont.

            0143.04.0344 · Akt(e) · 1958 - 1958
            Teil von GAILLARD André

            Dossier pour un concours constitué de deux études avec plan, coupes et façades. Sans date. L'échelle est une réglette au bas des plans. Devise "LUC"

            OBJET : Ce projet comporte deux bâtiments. Un premier allongé et aux extrémités en biseau accueille sacristie et espace de jeux au sous-sol, foyer, salles de réunion et cuisine au rez ainsi que des logements à l'étage. Un deuxième bâtiment est constitué par l'église (temple?) de plan circulaire et dont la couverture est un voile en béton paraboloïde s'appuyant sur trois points extérieurs. Le clocher, indépendant de l'église, est constitué de trois piliers en béton séparés avec deux poutres transversales au premier et deuxième tiers de la hauteur. Il n'y pas d'explication concernant la dénomination du projet. devise "LUC" Daté grâce au BTSR. Concours sur invitation (8). Le projet non primé d'André Gaillard est recommandé par le jury pour être confronté au 1er prix, remporté par Faessler.

            Concours Collège secondaire, au Locle
            0143.04.0350 · Akt(e) · 1968 - 1969
            Teil von GAILLARD André

            Dossier de concours d'une école pour 15 classes, avec plan masse, plans, coupes et façades et détails. Echelles 1:500 / 1:200 / 1:50 / 1:20.

            OBJET : Projet nommé "Forum". Socle de trois niveaux en T sur lequel vient se poser un quatrième niveau de plan carré. Conçu pour accueillir 15 classes. Selon la base de données Concours SIA, ce projet a obtenu le 2e prix. (5500.-) Ce projet voisine avec le collège des Jeannerets, réalisé antérieurement par André Gaillard.

            Concours Le Locle II
            0143.04.0352 · Akt(e) · 15.03.1958 - 15.03.1958
            Teil von GAILLARD André

            Dossier pour un concours d'urbanisme (?) contenant uniquement des plans topographiques. Echelle 1:4000. La date est celle inscrite sur l'emballage original.

            OBJET : Concours documenté uniquement par des plans topographiques et l'inscription de l'emballage d'origine mentionnant "Concours Le Locle II". Ce titre ainsi que le fait que de grandes parcelles des plans topo sont coloriées suggèrent qu'il s'agit d'un concours d'urbanisme (?), auquel le bureau Gaillard n'aurait finalement pas participé. Voir "collège des Jeanneret".

            Concours des Cornes Morel, à La Chaux-de-Fonds
            0143.04.0398 · Akt(e) · 02.1989 - 02.1989
            Teil von GAILLARD André

            Tubes 224 et 271. Dossier de concours complet avec plans topographiques et plans définitifs. Echelles 1:5000 / 1:1000 / 1:200 / 1:100.

            OBJET : Projet dénommé L.A.Tcho. Aménagement de trois périmètres au lieu-dit les Cornes Morel entre la rue F. Courvoisier et les chemins de fer. Quartier à usages mixtes: bureaux, logements, commerces et surfaces artisanales. Pour les logements, les irrégularités du plan sont priviliégiées (avancements, redans, courbes) avec pour but de donner à chaque appartement une qualité et une intimité particulière (duplex également).

            PAPETERIES DE SERRIÈRES
            0166 · Fonds · 1946-1956

            Le fonds documente le travail des architectes Jacques et Jean-Louis Béguin sur le site des anciennes papeteries de Serrières (NE). Concerne divers bâtiements liés à l'industrie du papier, notamment les locaux d'expédition, la salle de triage, des bureaux techniques, des logements, des laboratoires et une infirmerie, le bâtiment de la machine à climatiser, le local pour la distribution d'eau... Il existe de plus divers projets tels que l'agrandissement au sud, l'aménagement sur rue des Usines et liaison avec chocolat Suchard SA et le raccordement I des laboratoires et de l'infirmerie. Il est prévu trois projets de raccordements numérotés de I à II. Autres projets : passerelle vers la gare, trottoir de secours, pont rues des usines, halle-dépôt, hangar, halle-hangar d'expédition à la gare de Serrières, bâtiment de bureaux et d'expédition à la gare de Serrières. Transformation de l'ensemble garage-loge-menuiserie.
            On trouve aussi plusieurs variantes de plans du site nommées B, C, D, E, f, G et H.
            Le fonds comprend également des dossiers consacrés au réaménagement du Château de Serrières (Château de Beauregard), à la gare CFF de Serrières, et à d'autres bâtiments.

            Ohne Titel
            Projet de villa Mme Bernard Quinche, à Peseux
            0172.04.0276 · Akt(e) · 1935
            Teil von SARTORIS Alberto
            • Plans, plan situation, axonométrie, 1 planche, encre sur calque, mars-avril 1935
            • Esquisse de plan et axonométrie, 1 planche, crayon sur calque
            • Plans, élévations, coupe, axonométrie, 2 planches, crayon sur papier
            HAEFELI Georges-Jacques
            0178 · Fonds · 1960-2008

            Archives techniques (surtout dessins sur papier calque), documentant les objets les plus importants (projets, exécutions et concours) de la production de Georges-Jacques Haefeli, entre 1960 et 2008.
            On y retrouve notamment la Cité universitaire de Neuchâtel, le Musée international de l'horlogerie, le quartier de la Recorne, la restauration et l'agrandissement du Musée des beaux-arts et le centre culturel ABC, à La Chaux-de-Fonds, le Musée international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge à Genève, le home pour personnes âgées de Reconviliers, l'établissement scolaire du Noirmont.

            Ohne Titel