Détails constructifs pour bornes du parvis, fenêtres, tableaux d'affichageet plans d'exécution (1/50), modifications et compléments en 1973-4. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Documents relatifs à la transformation d'une maison, nouvel escalier. Maison dessinée en 1931 par J. Bianchi, technicien : symétrie, un seul niveau, toit à croupe. Le maître de l 'ouvrage d'Antognini est Lino Bianchi, entrepreneur. .

Plans d'exécution (1/20), nombreuses variantes. Ce projet semble avoir évolué d'un nouveau bâtiment à une simple extension d'un immeuble existant. Antognini fournira plusieurs esquisses au cours de sa carrière pour ce même commanditaire.

Projet de février 1945: plans, coupes et façades (1/100) qui proviennent vraisemblablement du bureau Honegger à Paris. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Mention "anciens plans", détails d'exécution (1/10) de la travée Est, sur escalier datés de juin 1964-66, façade générale (1/50), détail de fenêtre (1/1), avant-projet de 1959, plans, coupes et façades (1/50) et coupe sur façade (1/50). La cure du Christ-Roi est attenante à l'église du Christ-Roi et a été construite environ trente ans après le début du chantier de cette dernière. Le bâtiment projeté et réalisé par Emilio Antognini est un simple parallélépipède qui présente des éléments d'inspiration structuralistes (têtes de dalles, encadrements des ouvertures en béton) malgré un caractère général régionaliste : murs en maçonnerie, toit à croupe). Cette construction abrite les locaux de la cure qui avaient été prévus par Denis Honegger, responsable général du projet du Christ-Roi, dans un des immeubles du boulevard de Pérolles construits en même temps que l'église.

Documents concernant les chapelles latérales et la fin du chantier général. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Journal de chantier avec photos. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Factures. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Correspondance administrative. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Dossier relatif aux chapelles: factures et décompte d'architecte pour l'église, les chapelles latérales et la cure. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Document concernant les chapelles latérales ajoutées à l'église ultérieurement. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

La cure du Christ-Roi est attenante à l'église du Christ-Roi et a été construite environ trente ans après le début du chantier de cette dernière. Le bâtiment projeté et réalisé par Emilio Antognini est un simple parallélépipède qui présente des éléments d'inspiration structuralistes (têtes de dalles, encadrements des ouvertures en béton) malgré un caractère général régionaliste : murs en maçonnerie, toit à croupe). Cette construction abrite les locaux de la cure qui avaient été prévus par Denis Honegger, responsable général du projet du Christ-Roi, dans un des immeubles du boulevard de Pérolles construits en même temps que l'église.

Plans de permis de construire et tirages, ainsi que correspondance au sujet du clocher, des autels et des chapelles latérales. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Journal de chantier. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Correspondance et contentieux entre les hoirs Antognini (Agnès et César) et la société Arbor dont le nouveau nom est apparemment Alpha Club, mention d'un lien avec l'opus Dei. Plans esquissés pour la transformation de cette villa Heimatstyl en logement pour étudiants. Le maître de l'ouvrage est la société culturelle Arbor, dont le siège est situé à Zurich, (8044, Ackermannstrasse 25). Nouveau programme : chapelle au s/s-sol, chambres des prêtres, salle d'étude.

Agrandissement d'un bâtiment ancien et pittoresque par une annexe perretiste. Projet accepté et réalisé en 1956. Le problème posé consiste à agrandir l'ancienne école ménagère dans d'anciennes constructions à démolir. Parmi ceux-ci, on trouve une ancienne maison patricienne de Fribourg, de laquelle il faut garder une véranda et une façade en mollasse sur la rue de Morat. Ces éléments caractéristiques de cette rue pittoresque sont rattachés à la nouvelle ossature en béton.

Factures de l'aménagement des combles. Villa pour le professeur Roger Walter. La maison comporte une ossature de béton visible à l'intérieur comme à l'extérieur dont l'image n'est pas sans rappeler l'architecture d'Auguste Perret mais avec un toit à croupe. Programme : deux appartements indépendants et différents, avec jardin indépendant pour chaque appartement. Cette maison est située sur une butte visible de toute part, tout en jouissant d'une vue imprenable sur la vieille ville de Fribourg. Selon Antognini, l'ossature de béton a permis la disposition différente des appartements, mais il n'en apporte pas la démonstration fonctionnelle. Il s'agit en fait d'un manifeste. Les travées rythmées sont basées, semble-t-il, sur le tringle égyptien.

Plans pour une transformation.

Projet d'agrandissement. Extension à une usine existante pour la firme appelée Walter SA et Nuthofil SA. Annexe avec squelette béton et remplissage brique visible. Implantation à vingt mètres des anciennes fortifications de Fribourg et des tours de la porte de Morat. L'exiguïté du terrain semble avoir dicté le parti d'une construction en hauteur.

Adjudications. Ce projet semble avoir évolué d'un nouveau bâtiment à une simple extension d'un immeuble existant. Antognini fournira plusieurs esquisses au cours de sa carrière pour ce même commanditaire.

Il s'agit d'une adjonction, mais il n'a pas été possible de déterminer si celle-ci est située sur le site de Miséricorde.

Agrandissement d'un bâtiment ancien et pittoresque par une annexe perretiste. Projet accepté et réalisé en 1956. Le problème posé consiste à agrandir l'ancienne école ménagère dans d'anciennes constructions à démolir. Parmi ceux-ci, on trouve une ancienne maison patricienne de Fribourg, de laquelle il faut garder une véranda et une façade en mollasse sur la rue de Morat. Ces éléments caractéristiques de cette rue pittoresque sont rattachés à la nouvelle ossature en béton.

Transformation et agrandissement d'un bâtiment ancien. Antognini réalise en particulier une grille en fer forgé séparant le hall (escalier) et la salle d'étude. Ce dispositif permet une meilleure surveillance des élèves tout en donnant un bon éclairage au vestibule sombre.

Adjudications. Villa implantée sur une rue en pente, volumétrie basse et allongée, façade côté jardin avec portes-fenêtres avec contrevents régulièrement ordonnancées, murs crépis, langage classiciste régional. L'autre façade, côté rue, rachète la pente par une demi-niveau déterré, porte d'entrée monumentale, garage double.

Transformations: factures de l'auditoire C. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Soumissions. Projet de villa avec une toiture à pans dissymétriques, l'ensemble est assez maladroit, voir laid.

Agrandissement: divers documents. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Agrandissement: contrats concerant le consortium pour l'agrandissement regroupant en SA les architectes suivants: Antognini, Honegger, Charrières, Pages. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Factures de la deuxième étape. Implantation d'une école dans le tissu médiéval du bourg de Romont.

Adjudications. Ce projet semble avoir évolué d'un nouveau bâtiment à une simple extension d'un immeuble existant. Antognini fournira plusieurs esquisses au cours de sa carrière pour ce même commanditaire.

Soumissions. Ce projet semble avoir évolué d'un nouveau bâtiment à une simple extension d'un immeuble existant. Antognini fournira plusieurs esquisses au cours de sa carrière pour ce même commanditaire.

Agrandissement: correspondance administrative. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Mensa et parking: pv de chantier, 1982. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Transformations: correspondnace diverse au sujet de petites retouches. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Transformation et agrandissement d'un bâtiment ancien. Antognini réalise en particulier une grille en fer forgé séparant le hall (escalier) et la salle d'étude. Ce dispositif permet une meilleure surveillance des élèves tout en donnant un bon éclairage au vestibule sombre.

Agrandissement: correspondance diverses et journaux. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Mensa et parking: factures. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Notes manuscrites de l'architecte et coupures de presse. Concours pour un théâtre.

Mensa et parking: contrats et soumissions T à Z. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Factures.

Agrandissement: factures. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Agrandissement d'un bâtiment ancien et pittoresque par une annexe perretiste. Projet accepté et réalisé en 1956. Le problème posé consiste à agrandir l'ancienne école ménagère dans d'anciennes constructions à démolir. Parmi ceux-ci, on trouve une ancienne maison patricienne de Fribourg, de laquelle il faut garder une véranda et une façade en mollasse sur la rue de Morat. Ces éléments caractéristiques de cette rue pittoresque sont rattachés à la nouvelle ossature en béton.

Agrandissement: pv de chantier de l'agrandissement. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Mensa et parking: contrats et soumissions de A à G. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Factures.

Transformation d'un bâtiment existant.

Mensa et parking: factures. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Mensa et parking: contrats et soumissions. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Factures. Ce projet semble avoir évolué d'un nouveau bâtiment à une simple extension d'un immeuble existant. Antognini fournira plusieurs esquisses au cours de sa carrière pour ce même commanditaire.

Correspondnace avec les maîtres d'état. Cet immeuble semble appartenir à une fiduciaire appelée Fimolex SA. Maison bourgeoise en Heimatstyl.

Transformations: (2 parties) correspondance et appels d'offre pour l'aménagement d'un studio de télévision. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Mensa et parking: correspondance avec les CFF pour la couverture des voies et les possibilités de construction sur celles-ci. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Sciences naturelles: correspondance. La mention "Pérolles" indique-t-elle qu'il s'agit d'un autre bâtiemnt universitaire que Miséricorde, pourtant achevée à cette date?.

Concours pour la décoration artistique du nouveau bâtiment des cours, liste des soumissisonnaires. Grand projet comportant plusieurs corps de bâtiments, atmosphère stalinienne, référence perretiste. Nous ignorons si le projet a été construit selon les plans d'Antognini qui enseignait au département d'architecture de cette même école. Différents projets semblent avoir été demandés à Antognini pour l'aménagement de nouveaux laboratoires d'électrotechnique ou pour le déplacement complet du technicum, ceci en accord avec la faculté des sciences de l'université. Le lien entre ces deux institutions n'apparait pas clairement dans ces documents.

Il s'agit d'une adjonction, mais il n'a pas été possible de déterminer si celle-ci est située sur le site de Miséricorde.

Agrandissement: pv d'une séance consacrée à l'agrandissement de l'université de Miséricorde. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Tableau comparatif. Ce projet semble avoir évolué d'un nouveau bâtiment à une simple extension d'un immeuble existant. Antognini fournira plusieurs esquisses au cours de sa carrière pour ce même commanditaire.

Agrandissement: avant-projet d'extension, évaluation des coûts pour la faculté des sciences morales. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Correspondance, relevé et factures (le dossier porte par erreur la cote 0112.03.0013, déjà attribuée à un dossier contenant un cours). Remarque : ce chantier ne concerne pas la cité paroissiale du Christ-Roi, également sise au boulevard de Pérolles.

Factures pour les usines Walter SA et Nuthofil SA. Extension à une usine existante pour la firme appelée Walter SA et Nuthofil SA. Annexe avec squelette béton et remplissage brique visible. Implantation à vingt mètres des anciennes fortifications de Fribourg et des tours de la porte de Morat. L'exiguïté du terrain semble avoir dicté le parti d'une construction en hauteur.

Plans pour l'isolation thermique de la villa et l'aménagement des combles en un appartement supplémentaire. Villa pour le professeur Roger Walter. La maison comporte une ossature de béton visible à l'intérieur comme à l'extérieur dont l'image n'est pas sans rappeler l'architecture d'Auguste Perret mais avec un toit à croupe. Programme : deux appartements indépendants et différents, avec jardin indépendant pour chaque appartement. Cette maison est située sur une butte visible de toute part, tout en jouissant d'une vue imprenable sur la vieille ville de Fribourg. Selon Antognini, l'ossature de béton a permis la disposition différente des appartements, mais il n'en apporte pas la démonstration fonctionnelle. Il s'agit en fait d'un manifeste. Les travées rythmées sont basées, semble-t-il, sur le tringle égyptien.

Factures. L'extension projetée par Antognini consiste à ajouter une aile nouvelle et à transformer l'existant. L'esquisse n'est pas aboutie.

Transformation de l'ancienne école : l'implantation devait être gardée et était dictée par les murs de l'ancienne école. La différence de niveau a permis l'aménagement d'un étage supplémentaire et la sortie de plein pied sur la cour de récréation.

Décomptes. Transformation de l'ensemble des façades : les encadrements en mollasse tombaient, l'éclairage intérieur était insuffisant. Les façades ont été réétudiées par Antognini. Les encadrements ont amené l'étude d'une nouvelle modénature, l'entrée sur la place de l'église devait être aménagée. D'après Antognini, l'unité des façades de ce grand édifice compte pour beaucoup dans la siélhouette de Fribourg. Malheureusement, les adjonctions malheureuses et antérieures en toiture n'ont pas pu être supprimées.

Factures. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un ,manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Complète le dossier 0112.03.0002. Les plans présentent une typologie de pension familiale, d'auberge : chambres nombreuses, grande salle. Mention : auberge des cerisiers (1963). Une variante de plans présente une maison familiale avec un toit à deux pans de style régionaliste (1955, 67, 75).

Photos de chantier, correspondance et discours d'inauguration. Mandaté au Christ-Roi pour la réalisation des grilles de séparation entre la grande nef et les chapelles latérales complétées tardivement par Honegger et Antognini. Le projet du Christ-Roi est un projet d'envergure urbaine dont le concours remonte à 1943. Il est lancé par l'église catholique qui craint un manque de contrôle social de sa part sur le quartier de Pérolles en plein essor et est soutenu par les profession techniques qui manquent de travail à cette époque. Le programme prévoit une église, des locaux annexes, une salle paroissiale, une cure et des logements. Le concours est remporté par Denis Honegger, qui est à cette époque associé à l'architecte Fernand Dumas de Romont. Après la guerre, Honegger retourne à Paris et y ouvre une agence. La réalidation du projet du Christ-Roi, qui s'étendra sur plusieurs décennies, est confiée à l'architecte fribourgeois Emilio Antognini. Informations supplémentaires dans le numéro spécial de la revue Patrimoine Fribourgeois de décembre 1998.

Photomontage pour la transformation du toit. Il est difficile à déterminer la portée exacte de l'intervention : s'agit-il d'une transformation, d'une reconstruction?.

Agrandissement: photos maquettes, photomontage, texte. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Esquisses et correspondance avec les maîtres d'état. Remarque : ce chantier ne concerne pas la cité paroissiale du Christ-Roi, également sise au boulevard de Pérolles.

Agrandissement: rapport du rectorat de l'université et de la direction de l'instruction publique et des cultes pour l'agrandissement pour le 3e propé de médecine. Antognini étudie l'agrandissement de l'université construite en 1942 par Denis Honegger en ajoutant une aile et en fermant la cour par un portique. L'articulation de ces deux corps semble avoir fait l'objet de nombreuses investigations volumétriques. Ici variante appelée poterne, sorte de gros cube proéminent. De 1937 à 1939, Antognini travaille sur ce projet dans le cadre du bureau Dumas et Honegger; il est chef de chantier de 1939 à 1943.

Expertise, plans et relevés, analyse architecturale.

Dossier en deux parties, contenant héliocopies, plans, coupes et façades (1/50), plans annotés, plan d'une corniche et plans d'exécution. Plans esquissés pour la transformation de cette villa Heimatstyl en logement pour étudiants. Le maître de l'ouvrage est la société culturelle Arbor, dont le siège est situé à Zurich, (8044, Ackermannstrasse 25). Nouveau programme : chapelle au s/s-sol, chambres des prêtres, salle d'étude.

Plans, coupes, façades (1/50). Transforamtion et agrandissement.

Dossier mixte avec plans et textes.

Dossier mixte pour la construction d'un pavillon isolé pour la salle des maîtres avec plans pliés et factures.

Règlement exécutif de la loi sur l'aménagement du territoire et des constructions.

Photo de maquette, échelle 1/100

Photo de maquette, échelle 1/100

Photo de maquette, échelle 1/100

Dossier contenant divers documents dont notamment:

• plan du parterre actuel (original, échelle 1:50) ;
• plan des combles actuels (original, échelle 1:50) ;
• plan des aménagements (originaux, échelle 1:50) ;
• coupes transversales et longitudinales (originales, échelle 1:50).

Ce dossier contient plusieurs photos des divers projets:

• Cinéma Atlantic Lausanne entre juillet 1948 et janvier 1949, après l'incendie 1960
• construction d'une annexe de la villa Mont-Riant à Lausanne entre mars et septembre 1948
• transformations diverses du garage du Closelet à Lausanne en été 1948
• villa de Mr. R. Moreillon à Grandvaux entre mai et novembre 1948
• grandes caves Jacques Langrand de S.I. En Longemalle S.A. à Renens entre mai 1946 et août 1947
• transformations du bar de l'immeuble Froidevaux à Villars en printemps 1947
• pharmacie et droguerie du Lion D'Or (Drogueries Reunis S.A.) à Lausanne entre juillet et septembre 1945 et entre août et octobre 1946
• café, glacier et bar "Le Carocia" à Lausanne en 1945
• tea-room "Grandjean" à Romont entre août et décembre 1945
• dépôt de bezine de BP benzine et petrol S.A. à Renens entre janvier 1949 et octobre 1950
• chalet de Mr. Guisin à Chesieres entre mars et octobre 1944
• tea-room "Pagoda" à Lausanne entre juillet et août 1944
• transformations de la maison de Vigneron du Clos du Rocher à Yvorne entre février et août 1944
• bar-express "Le Bresilien" à Lausanne entre juin et octobre 1943
• immeuble Genoud à Lausanne (architecte Jacques Favarger) entre1937 et 1938

Concours organisé par la société de construction métallique Ray & Vichet pour développer des systèmes d'habitation industriels.

– Lettre de Ray& Vichet Façades métalliques à Werk, bauen & Wohnen
– Règlement et programme
– Coupure de presse
– Rapport de jury
– Réponses aux questions
– Plan des zones d'affectation
– Document préalable à l'intention des membres du jury

– Rapport du jury
– Complément du règlement pour le 2ème degré
– Schéma des surfaces
– Règlement du concours
– Questions et réponses
– Complément du programme pour le 2ème degré
– Programme du concours

– Rapport du jury
– Réduction des planches de l'avant-projet de Barth, Zaugg et Haller
– Annexe au PV de jury avec les critiques générales des projets
– Énoncé du programme par les CFF
– Correspondance diverse
– Grille d'évaluation des projets
– PV de séances
– Notes manuscrites
– Procédure de l'examen préalables
– Programme du concours (1er degré)
– Programme du concours (2ème degré)
– Brochure "Aktuelle Wettbewerbs Scene" 3/4 1976

relevés. Il s'agit de la restauration d'une chapelle catholique dans le canton de Fribourg, chapelle en style régional marqué. Jeanne Bueche restaure la structure existante et refait les parties dégradées sans intervention marquante.

relevés (1/50), dessins d'exécution, détails de conservation des stucs, projets pour l'autel et l'ameublement, relevés de la charpente. Il s'agit de la restauration d'une chapelle catholique dans le canton de Fribourg, chapelle en style régional marqué. Jeanne Bueche restaure la structure existante et refait les parties dégradées sans intervention marquante.

quelques dessins grandeur nature. Il s'agit de la restauration d'une chapelle catholique dans le canton de Fribourg, chapelle en style régional marqué. Jeanne Bueche restaure la structure existante et refait les parties dégradées sans intervention marquante.

avant-projet (1/200), études d'implantation. Grand bâtiment à typologie rationnaliste avec expression moderne régionale: façades en pierre et béton, toit à 3 pans, en tuile. La grandeur de l'édifice relativiserait l'échelle de la chapelle.

relevés du bâtiment existant (1:50), projet de surélévation, études d'implantation (1:1000), tirages annotés de la chapelle. Après l'abandon du projet de collège, Jeanne Bueche est mandatée pour surélever l'ancien bâtiment des pères, qui perdra ainsi son cachet rustique. La nouvelle charpente est constituée de fermes industrialisées en bois sans appuis intermédiaires et permet l'aménagement de dortoirs.

avant-projet (1:200) pour une école, un internat et une chapelle. Ce projet prévoyait la construction d'un collège avec internat, locaux collectifs et chapelle. Seule la chapelle sera finalement construite (un des chefs-d'oeuvre de Jeanne Bueche, voir dossier) et l'internat aménagédans les combles de l'ancienne maison des pères surélevés à cette occasion. Un pavillon scolaire en construction légère sera aussi édifié plus tard.

plans d'exécution d'une chapelle, nombreux détails constructifs (plans sont également signés par Marcel Waeber, architecte à Bulle, qui a surveillé le chantier), projet d'un pavillon scolaire préfabriqué (avec plusieurs variantes d'implantation) construit en 1968. Construction d'une chapelle aérienne perpendiculairement à la pente. Ingéniosité de la coupe qui superpose un dépôt, une salle de gymnastique et une chapelle. Construction en béton avec expression de la structure, porte-à-faux spectaculaire. Contrairement à la pratique habituelle, c'est l'intérieur de la chapelle qui est doublé d'un appareillage de pierre apparent, en référence au lieu de pélérinage de la Salette, en Savoie, lieu très rocailleux. Projet d'un pavillon scolaire situé dans le périmètre (plusieurs variantes d'implantation), une des coupes propose un porte-à-faux. La chapelle de la Salette est un des chefs-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Expression architecturale qui manifeste l'exploit technique et la plasticité du béton: implantation perpendiculaire à la pente, superposition programmatique, bas-côtés en redans, porte-à-faux spectaculaire. Cependant la présence de pierre en façade tempère cet effet . A l'intérieur, le revêtement de pierre est une référence au lieu de pélérinage de la Salette (Savoie?) au relief rocailleux. Le clocher est construit en béton et revêtu de pierre à l'extérieur. Dessin soigné de la croix métallique qui le surmonte avec marteau et tenaille, instruments de la Passion du Christ.

dessins (1:100) à l'encre pour une école et une église, mention d'un collaborateur sur place: Marcel Waeber architecte, Bulle. Ce projet prévoyait la construction d'un collège avec internat, locaux collectifs et chapelle. Seule la chapelle sera finalement construite (un des chefs-d'oeuvre de Jeanne Bueche, voir dossier) et l'internat aménagédans les combles de l'ancienne maison des pères surélevés à cette occasion. Un pavillon scolaire en construction légère sera aussi édifié plus tard.

brouillons de plans (1/50) pour le collège. Grand bâtiment à typologie rationnaliste avec expression moderne régionale: façades en pierre et béton, toit à 3 pans, en tuile. La grandeur de l'édifice relativiserait l'échelle de la chapelle.

plans, coupes, façades (1:200), relevés (1:50) pour la coupe sur le terrain en forte pente, relevés (1:200) du bâtiment des soeurs existant à transformer. Projet d'école et d'internat tenu par des religieuses. Bâtiment intéressant en terrasses sur la pente. Type architectural jamais expérimenté par Jeanne Bueche; le terrain semble avoir dicté le parti.

correspondance envoyée. Construction d'une chapelle aérienne perpendiculairement à la pente. Ingéniosité de la coupe qui superpose un dépôt, une salle de gymnastique et une chapelle. Construction en béton avec expression de la structure, porte-à-faux spectaculaire. Contrairement à la pratique habituelle, c'est l'intérieur de la chapelle qui est doublé d'un appareillage de pierre apparent, en référence au lieu de pélérinage de la Salette, en Savoie, lieu très rocailleux. Projet d'un pavillon scolaire situé dans le périmètre (plusieurs variantes d'implantation), une des coupes propose un porte-à-faux. La chapelle de la Salette est un des chefs-d'oeuvre de Jeanne Bueche. Expression architecturale qui manifeste l'exploit technique et la plasticité du béton: implantation perpendiculaire à la pente, superposition programmatique, bas-côtés en redans, porte-à-faux spectaculaire. Cependant la présence de pierre en façade tempère cet effet . A l'intérieur, le revêtement de pierre est une référence au lieu de pélérinage de la Salette (Savoie?) au relief rocailleux. Le clocher est construit en béton et revêtu de pierre à l'extérieur. Dessin soigné de la croix métallique qui le surmonte avec marteau et tenaille, instruments de la Passion du Christ.

correspondance reçue. Il s'agit de la restauration d'une chapelle catholique dans le canton de Fribourg, chapelle en style régional marqué. Jeanne Bueche restaure la structure existante et refait les parties dégradées sans intervention marquante.