Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957
Bâtiment industriel composé e deux corps reliés par une passerelle. L'ossature de béton évoque l'architecture d'Auguste Perret. De nombreux écarts sont cependant perceptilbes par rapport au modèle du maître. Le plus frappant est l'interruption des pilastres dans leur hauteur par les corniches, en parfaite contradiction avec la notion d'abri souverain chère à Auguste Perret. Cette innovation est motivée par l'impossibilité de couler d'un coup le pilastre qui est logiquement interrompu par la tête de dalle. Cette contradiction interne du système d'Auguste Perret avait été surmontée par le maître dans la dissociation des ordres à l'intérieur d'un immeuble, les colonnes libres suportant la toiture étant dissociées strucutrellement et plastiquemement de la carcasse portante des étages. Dans le cas présent, les éléments obturés de la façade exécutés en surfaces enduites de même le cadre de baie défini par l'appuis et non par les jambages sont des interprétations de l'oeuvre de Perret.
Cette maison conçue en 1955 annonce déjà la maison Farron ou d'autres maisons individuelles qui seront construites ultérieurement par les architectes, souvent sur des parcelles de terrain en forte pente spécifiques à la géomorphologie locale bloquée entre le versant méridional de la chaîne du Jura et la rive du lac de Neuchâtel. La maison Favarger est distinctement organisée en deux ailes: l'aile des chambres est paralèle à la pente, chacune des chambres à coucher bénéficiant d'un ensoleillement maximal et d'une vue imprenable. L'aile perpendiculaire à la pente abrite le séjour, en prolongement de la cuisine; son extrémité en porte-à-faux en dessus de la pente dramatise le surgissement de la construction hors du terrain, comme un rocher. Cette métaphore est accentuée par les aménagements extérieurs qui semblent avoir été maintenus dans leur état préliminaire de nature. Les façades de la maison expriment la progression chronologique du chantier et la diversité des actes de construire par la dissociation des éléments constitutifs de la bâtisse: soubassement, pans de murs, blocs fenêtres-allège, garde-corps, toiture. Dans le même esprit, ces différentes catégories bénéficient chacune d'une matérialisation qui lui est propre. Le détail des linteaux et des abris cache-store confondus avec la sablière illustre remarquablement cette volonté de s'écarter discrètement de la pratique habituelle en empruntant simultanément des vocables à son langage.
La transformation de cette ancienne maison villageoise est caractérisée par le maintien d'une infrastructure préexistante sous la forme d'un énorme mur de soutènement qui rachète la dénivellation du terrain. L'intervention de l'architecte consiste à décapiter la construction et à reconstruire le dernier niveau en structure de pans de bois dont le balcon en porte-à-faux évoque l'image médiévale des hourds ou du chemin de ronde qui couronnent une muraille. Le projet des architectes à proprement parler est une petite maison de bois qui n'est pas sans ressemblance avec les nombreux prototypes de maisons ouvrières économiques développés dans les décennies antérieures notamment par les architectes Alphonse Laverrière ou Jacques Favarger.
Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.
Cette maison est fortement caractérisée par des éléments empruntés à l'architecture vernaculaire régionale: volumétrie de ferme jurassienne, percements plus grands à l'étage qu'au rez de chaussé, couverture en tuile de terre cuite rouge, mur de soutènement en appareillage de pierre sèche. Cependant, ce type d'architecture est largement répandu dans la production suisse de l'immédiat après-guerre et représente l'archétype de la maison familiale de la classe moyenne à cette époque. Dans le cas présent, la fenêtre en bandeau des combles ainsi que les fenêtres "françaises" du rez de chaussée sont des inserts raffinés qui signent le travail des architectes.
Ce projet d'école a été réalisé sur un terrain en forme de L situé en bordure d'une carrière. La volumétrie générale du projet, également en L, avec en plan une distribution rationnelle, répond à cette donnée préexistante, un des angles du bâtiment plongeant même sur la hauteur d'un étage courant en vue d'y abriter des locaux supplémentaires éclairés naturellement. La façade est sans doute l'élément le plus intéressant de cette construction car elle révèle son système porteur qui est composé de piliers de maçonnerie, régulièrement espacés, et de contrecoeurs en béton qui travaillent structurellement comme des poutres et supportent les dalles. Le revêtement en calcaire jaune d'Hauterive et la toiture à croupe recouverte de tuiles de terre cuite sont des références régionales. Cette distinction expressive des éléments composant le bâtiment en fonction de leur rôle constructif et statique par la matérialisation et la texture est une caractéristique que les époux Billeter ont toujours recherché dans leurs créations mais l'exemple présent est particulièrement emblématique.
Cette maison est située en surplomb des rives du lac à Neuchâtel. Elle est implantée dans le voisinnage d'une demeure bourgeoise dont le jardin est structuré par d'imposants murs de soutènement surmontés de balustres. Le projet des architectes maintient ce système de contention de la terre qui leur permet d'installer en contrehaut une maison moderne qui ne manque pas de connotation classique et monumentale. Ainsi la façade principale, qui est une loggia à deux niveau, évoque les proportions du portique d'un temple antique par sa rigueur et sa symétrie. Le toit à croupe imite quant à lui un fronton. La géométrie en plan et en coupe de l'ossature de la loggia introduit cependant des variations dans ce langage au moyen des reports de charges, les colonnes du rez étant concentrées en retrait par rapport à l'étage. Toutefois, cette recherche qui s'arrête à la façade principale, les autres façades de la maison étant enduites et sans ossature, traduit d'une manière exemplaire une difficulté récurrente pour les adeptes du classicisme structurel, à savoir le caractère dimensionnel des édifices. En effet, si l'ossature est un système structurel qui convient aux édifices de grande dimension et peu divisés spatialement, à l'instar de l'église du Raincy, il est beaucoup plus difficilement applicable à un programme domestique unifamilial de dimension modeste sans les effets désastreux de la miniaturisation et de la contrainte sur le plan. A c epropose, il faut constater qu'Auguste Perret lui-même a adopté une attitude réservée lorsqu'il fut confronté à ce type de programme. Il donnera une réponse à ce problème avec la réalisation de la maison construite à Sceaux pour Charles Mauduit en 1934.
Cette maison est une variante du modèle de maison familiale que les architetes n'ont cessé de décliner dans leur production: un plan en équerre dont l'aile principale, perpendiculaire au terrain, abrite le séjour et la cuisine, et l'autre aile, parraléle à la pente, qui abrite les chambres. Dans le cas présent, l'organisation de la section longitudinale en demi-niveaux est une astuce volumétrique qui affirme l'articulation de la masse. L'inversion des pans de toiture, inédite dans les projets de maisons individuelles des architectes, participe au même effet. Les façades construites partiellement en bois sont également une option à laquelle les architectes ont rarement recouru. Ce projet est sans doute un des plus originaux conçu par les architectes. Par son image générale de pavillon de vacances et certains détails de l'aménagement intérieur (cheminée du séjour), il n'est pas sans évoquer les maisons réalisées par Breuer dans la campagne de la côte Est des Etats-Unis pendant la seconde guerre mondiale.
Maison locative composée d'un rez de chaussée avec grandes fenêtres et de deux niveaus d'appartements qui s'ouvrent sur un grand balcon qui forme une sorte de portique devant la façade principale. Toit à croupe.
Cette grande maison est située sur un terrain en léger surplomb. Les pièces principales s'ouvrent généreusement au sud sur un balcon en retrait à l'intérieur du volume habitable, le garde-corps est exécuté en ferronnerie. Partagée horizontalement par le nez de dalle, la maison abrite à chacun des deux étages un appartement similaire. Au sous-sol se trouvent un garage, un atelier d'horlogerie, les caves et la buanderie. La volumétrie, de configuration simple, est couverte d'un toit à croupe. Les façades présentent un ordonnancement symétrique, régulier et finement proportionné des ouvertures. L'accès, placé sur une façade latérale, est soutenu par un ramblai de terre dont la contention est assurée par un mur de soutènement. Cette n'est pas sans évoquer, par sa typologie, la maison locative Perrenoud réalisée par les architectes à Peseux à la même époque. Un projet non-réalisé de maison de paroisse qui présente une forme générale similaire aux deux habitations susnommées laisse deviner, derrière une apparente simplicité, une variété de partition intérieure, tant en plan qu'en coupe. La répartition des ouvertures par rapport à l'ossature, dans ce dernier projet, est dynamique et inventive.
Cet immeuble locatif abrite des fonctions multiples. Sa façade principale révèle l'organisation du bâtiment: au rez elle est en retrait pour ménager un abri devant l'entrée, à l'entresol elle est percée d'ouvertures répétitives selon un module de fenêtre régulier et vertical, aux quatre étages supérieurs des loggias prolongent extérieurement les logements sur la longueur de l'immeuble, à l'exception de volumes pleins qui sont des réduits. Les têtes de dalle et les garde-corps de béton suspendus marquent des lignes horizontales. L'originalité, et peut-être la modernité de cet immeuble réside dans le parti-pris radioscopique d'expression honnête de la diversité des fonctions intérieures superposées, sans aucune recherche d'élément unificateur en façade.
Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.
Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957
Bâtiment industriel composé e deux corps reliés par une passerelle. L'ossature de béton évoque l'architecture d'Auguste Perret. De nombreux écarts sont cependant perceptilbes par rapport au modèle du maître. Le plus frappant est l'interruption des pilastres dans leur hauteur par les corniches, en parfaite contradiction avec la notion d'abri souverain chère à Auguste Perret. Cette innovation est motivée par l'impossibilité de couler d'un coup le pilastre qui est logiquement interrompu par la tête de dalle. Cette contradiction interne du système d'Auguste Perret avait été surmontée par le maître dans la dissociation des ordres à l'intérieur d'un immeuble, les colonnes libres suportant la toiture étant dissociées strucutrellement et plastiquemement de la carcasse portante des étages. Dans le cas présent, les éléments obturés de la façade exécutés en surfaces enduites de même le cadre de baie défini par l'appuis et non par les jambages sont des interprétations de l'oeuvre de Perret.
Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
Cette maison conçue en 1955 annonce déjà la maison Farron ou d'autres maisons individuelles qui seront construites ultérieurement par les architectes, souvent sur des parcelles de terrain en forte pente spécifiques à la géomorphologie locale bloquée entre le versant méridional de la chaîne du Jura et la rive du lac de Neuchâtel. La maison Favarger est distinctement organisée en deux ailes: l'aile des chambres est paralèle à la pente, chacune des chambres à coucher bénéficiant d'un ensoleillement maximal et d'une vue imprenable. L'aile perpendiculaire à la pente abrite le séjour, en prolongement de la cuisine; son extrémité en porte-à-faux en dessus de la pente dramatise le surgissement de la construction hors du terrain, comme un rocher. Cette métaphore est accentuée par les aménagements extérieurs qui semblent avoir été maintenus dans leur état préliminaire de nature. Les façades de la maison expriment la progression chronologique du chantier et la diversité des actes de construire par la dissociation des éléments constitutifs de la bâtisse: soubassement, pans de murs, blocs fenêtres-allège, garde-corps, toiture. Dans le même esprit, ces différentes catégories bénéficient chacune d'une matérialisation qui lui est propre. Le détail des linteaux et des abris cache-store confondus avec la sablière illustre remarquablement cette volonté de s'écarter discrètement de la pratique habituelle en empruntant simultanément des vocables à son langage.
Cette salle de spectacle de moyenne dimension a été ajoutée à un complexe de bâtiments communaux existants. Le classicisme élémentaire de l'ossature de béton sur la façade d'accueil confère au bâtiment un caractère monumental miniaturisé qui n'est pas dépourvu d'ambition. Les détails de modelage de l'ossature aux angles de l'édifice varient de façon à compenser la différence d'ossature entre les façades latérale et frontale, différence engendrée par la disposition d'une mezzanine en dessus de l'entrée. Ainsi, ces détails infimes donnent à lire l'organisation des espaces intérieurs sur une façade relativement peu disserte quant au contenu qu'elle enceint. Toutefois, force est de constater que l'étude géométrique de l'ossature est dans le cas présent un instrument au service de la stabilité de l'édifice autant qu'à la confirmation de sa charge symbolique.
La transformation de cette ancienne maison villageoise est caractérisée par le maintien d'une infrastructure préexistante sous la forme d'un énorme mur de soutènement qui rachète la dénivellation du terrain. L'intervention de l'architecte consiste à décapiter la construction et à reconstruire le dernier niveau en structure de pans de bois dont le balcon en porte-à-faux évoque l'image médiévale des hourds ou du chemin de ronde qui couronnent une muraille. Le projet des architectes à proprement parler est une petite maison de bois qui n'est pas sans ressemblance avec les nombreux prototypes de maisons ouvrières économiques développés dans les décennies antérieures notamment par les architectes Alphonse Laverrière ou Jacques Favarger.
Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.
Cette maison est fortement caractérisée par des éléments empruntés à l'architecture vernaculaire régionale: volumétrie de ferme jurassienne, percements plus grands à l'étage qu'au rez de chaussé, couverture en tuile de terre cuite rouge, mur de soutènement en appareillage de pierre sèche. Cependant, ce type d'architecture est largement répandu dans la production suisse de l'immédiat après-guerre et représente l'archétype de la maison familiale de la classe moyenne à cette époque. Dans le cas présent, la fenêtre en bandeau des combles ainsi que les fenêtres "françaises" du rez de chaussée sont des inserts raffinés qui signent le travail des architectes.
Construite dans l'immédiat après-guerre, à une époque où la ferraille et le ciment sont contingentés, cette maison frappe par la simplicité élémentaire de sa composition. La technologie élémentaire des murs de moellons - encouragée à l'époque par les autorités, les palnchers de bois, le toit à croupe, la répétitivité des fenêtres et des contrvents, tout dans ce chantier révèle un souci d'économie tant au niveau des matériaux que de l'investissement humain. Seule l'intensité du travail de l'architecte semble faillir à cette règle: l'étude des proportions du volume et des ouvertures est le fruit d'une recherche fine et soignée, de même que la mise en oeuvre générale. La réalisation de l'avant-toit sur lequel la ligne de pose du chéneau accuse un bombement destiné à la correction optique des horizontale, procédé hérité de l'Antiquité, illustre le souci du détail et le soin du chantier qui ont présidé à la réalisation.
Ce projet d'école a été réalisé sur un terrain en forme de L situé en bordure d'une carrière. La volumétrie générale du projet, également en L, avec en plan une distribution rationnelle, répond à cette donnée préexistante, un des angles du bâtiment plongeant même sur la hauteur d'un étage courant en vue d'y abriter des locaux supplémentaires éclairés naturellement. La façade est sans doute l'élément le plus intéressant de cette construction car elle révèle son système porteur qui est composé de piliers de maçonnerie, régulièrement espacés, et de contrecoeurs en béton qui travaillent structurellement comme des poutres et supportent les dalles. Le revêtement en calcaire jaune d'Hauterive et la toiture à croupe recouverte de tuiles de terre cuite sont des références régionales. Cette distinction expressive des éléments composant le bâtiment en fonction de leur rôle constructif et statique par la matérialisation et la texture est une caractéristique que les époux Billeter ont toujours recherché dans leurs créations mais l'exemple présent est particulièrement emblématique.
Cette maison est située en surplomb des rives du lac à Neuchâtel. Elle est implantée dans le voisinnage d'une demeure bourgeoise dont le jardin est structuré par d'imposants murs de soutènement surmontés de balustres. Le projet des architectes maintient ce système de contention de la terre qui leur permet d'installer en contrehaut une maison moderne qui ne manque pas de connotation classique et monumentale. Ainsi la façade principale, qui est une loggia à deux niveau, évoque les proportions du portique d'un temple antique par sa rigueur et sa symétrie. Le toit à croupe imite quant à lui un fronton. La géométrie en plan et en coupe de l'ossature de la loggia introduit cependant des variations dans ce langage au moyen des reports de charges, les colonnes du rez étant concentrées en retrait par rapport à l'étage. Toutefois, cette recherche qui s'arrête à la façade principale, les autres façades de la maison étant enduites et sans ossature, traduit d'une manière exemplaire une difficulté récurrente pour les adeptes du classicisme structurel, à savoir le caractère dimensionnel des édifices. En effet, si l'ossature est un système structurel qui convient aux édifices de grande dimension et peu divisés spatialement, à l'instar de l'église du Raincy, il est beaucoup plus difficilement applicable à un programme domestique unifamilial de dimension modeste sans les effets désastreux de la miniaturisation et de la contrainte sur le plan. A c epropose, il faut constater qu'Auguste Perret lui-même a adopté une attitude réservée lorsqu'il fut confronté à ce type de programme. Il donnera une réponse à ce problème avec la réalisation de la maison construite à Sceaux pour Charles Mauduit en 1934.
Cette maison a été construite pour les parents de l'architecte Léopold Veuve qui deviendra plus tard professeur d'architecture à l'école polytechnique fédérale de Lausanne. L'habitation est concentrée sur un niveau unique, surélevé par un socle de béton. La dissociation des pans de mur et des fenêtres est une pratique courante dans l'oeuvre des architectes.
Ce grand édifice universitaire fut inauguré le 2 novembre 1960. Il s'agit d'une longue barre comptant trois étages en plus du rez-de-chaussée. Les quatre niveaux, desservis par un couloir central, abritent de part et d'autre de ce dernier les bureaux et les laboratoires dont le dimensionnement résulte librement du module régulier de fenêtres en façade. Les espaces plus grands qui ne peuvent être soumise à ce rythme constructif régulier sont situés d'une part à la fin de la composition, dans la dernière travée de l'édifice qui bénéficie d'un plan élargi et d'autre part dans le corps indépendant, sur pilotis fuselés à facettes, de la grande aula dont le rez de chaussée ainsi libéré sert de porche d'entrée couvert au bâtiment principal. Dans le même but, les premières travées de la barre sont également surélevées, comme un pont, sur de grands cadres de béton dont la géométrie des piles est, dans la logique de leur spécificité statique, distincte des pilotis de l'aula. L'expression de cette différence est reprise en façade, les allèges des fenêtres de cette fraction de bâtiment étant réunies en une poutre continue alors que les allèges des autres fenêtres participent à la définition du module de façade. Ces dernières, exécutées en béton, sont caractérisées par la répétition mécanique du module de fenêtre alors que les pignons sont obturés d'un revêtement de peierre calcaire jaune régionale.
Cette maison est une variante du modèle de maison familiale que les architetes n'ont cessé de décliner dans leur production: un plan en équerre dont l'aile principale, perpendiculaire au terrain, abrite le séjour et la cuisine, et l'autre aile, parraléle à la pente, qui abrite les chambres. Dans le cas présent, l'organisation de la section longitudinale en demi-niveaux est une astuce volumétrique qui affirme l'articulation de la masse. L'inversion des pans de toiture, inédite dans les projets de maisons individuelles des architectes, participe au même effet. Les façades construites partiellement en bois sont également une option à laquelle les architectes ont rarement recouru. Ce projet est sans doute un des plus originaux conçu par les architectes. Par son image générale de pavillon de vacances et certains détails de l'aménagement intérieur (cheminée du séjour), il n'est pas sans évoquer les maisons réalisées par Breuer dans la campagne de la côte Est des Etats-Unis pendant la seconde guerre mondiale.
Maison locative composée d'un rez de chaussée avec grandes fenêtres et de deux niveaus d'appartements qui s'ouvrent sur un grand balcon qui forme une sorte de portique devant la façade principale. Toit à croupe.
Projet non réalisé pour une maison de paroisse, localité non identifiée. Architecture structurellement classique: l'ossature de béton visible en façade (pilastres d'angles, corniches, cadres de baie) évoque clairement les réalisations d'Auguste Perret, ainsi que la volumétrie de l'immeuble. Jeu intéressant dans la dispostion des ouvertures qui semble révéler, à l'intérieur du volume compact, un fractionnement des niveaus autorisant une grande salle plus haute que les autres locaux. Toit à croupe, ordonnancement de façade classique avec double rampe d'escalier symétrique, percement également répartis en ordre symétrique.
Cette grande maison est située sur un terrain en léger surplomb. Les pièces principales s'ouvrent généreusement au sud sur un balcon en retrait à l'intérieur du volume habitable, le garde-corps est exécuté en ferronnerie. Partagée horizontalement par le nez de dalle, la maison abrite à chacun des deux étages un appartement similaire. Au sous-sol se trouvent un garage, un atelier d'horlogerie, les caves et la buanderie. La volumétrie, de configuration simple, est couverte d'un toit à croupe. Les façades présentent un ordonnancement symétrique, régulier et finement proportionné des ouvertures. L'accès, placé sur une façade latérale, est soutenu par un ramblai de terre dont la contention est assurée par un mur de soutènement. Cette n'est pas sans évoquer, par sa typologie, la maison locative Perrenoud réalisée par les architectes à Peseux à la même époque. Un projet non-réalisé de maison de paroisse qui présente une forme générale similaire aux deux habitations susnommées laisse deviner, derrière une apparente simplicité, une variété de partition intérieure, tant en plan qu'en coupe. La répartition des ouvertures par rapport à l'ossature, dans ce dernier projet, est dynamique et inventive.
Située dans une pinède, la générosité du programme de cette maison de week-end révèle l'intense activité sociale du maître del'ouvrage. Le volume principal est couvert d'un toit à un pan, avec tuiles de terre cuite, auquel sont adjoints deux annexes en appentis: la terrasse couverte et le garage double. Les façades présentent une alternance d'éléments en béton et en enduit, alors que la construction (murs, dalles et toiture) est réalisée entièrement en béton. Cette caractéristique est justifiée notament pour les grandes portées nécessaires aux baies vitrées et aux retraits de façades côté jardin: au rez, un décrochement autorise une terrasse couverte, elle-même prolongée par un abri couvert. En contraste, à l'étage, les nombreuses chambres ne disposent que de petites fenêtres régulières, avec volets. Dans les angles de la maison, les murs coupe-vent forment un cadre avec l'avant-toit dont la matérialisation révèle discrètement la carcasse structurelle de béton inhabituelle dans un programme domestique. L'aménagement intérieur, à commencer par la configuration du plan, est un des ensemble les plus moderne réalisé par les architectes, comme en témoignent l'escalier avec marches encastrées en porte-à-faux ou la cheminée avec âtre et manteau métalliques dissociés de la maçonnerie.
Couverture de tribunes en porte-à-faux par demi-portiques de béton.
Cet immeuble locatif abrite des fonctions multiples. Sa façade principale révèle l'organisation du bâtiment: au rez elle est en retrait pour ménager un abri devant l'entrée, à l'entresol elle est percée d'ouvertures répétitives selon un module de fenêtre régulier et vertical, aux quatre étages supérieurs des loggias prolongent extérieurement les logements sur la longueur de l'immeuble, à l'exception de volumes pleins qui sont des réduits. Les têtes de dalle et les garde-corps de béton suspendus marquent des lignes horizontales. L'originalité, et peut-être la modernité de cet immeuble réside dans le parti-pris radioscopique d'expression honnête de la diversité des fonctions intérieures superposées, sans aucune recherche d'élément unificateur en façade.
Cette maison est une des réalisations domestiques les plus représentatives des architectes. Implantée sur un terrain en forte déclivité, elle semble surgir du sol par sa volumétrie basse coiffée d'un toit à un pan et s'ouvre généreusement en direction du lac de Neuchâtel par de larges baies et une loggia. A l'image de la bâtisse, les aménagements extérieurs sont en adéquation avec la forme de la terre: dessin du jardin en rocaille, maintien ou prolongement de la végétation existante, murs de soutènement. La composition des façades exprime la dissociation constructive des éléments architecturaux, comme si la maison était un assemblage: socle de béton, têtes de dalle visibles, pans de murs crépis discontinus indépendants des blocs fenêtres-allèges. Les baies vitrées occupent toute la hauteur disponible entre les dalles, les fenêtres plus petites comportent une allège maçonnée différent des pans de mur (appareil de briques de terre cuite) et un imposte, de manière à ne pas interférer dans le travail structurel des façades ainsi ininterrompues. Cette technique expressive et constructive est une constante dans l'oeuvre des architectes; elle a pour but d'assurer une meilleure durabilité à l'enveloppe extérieure, en particulier par l'absence de fissures qui menacent toute maçonnerie au droit des reports de charge. Ce souci, ainsi que le soin apporté à la mise en oeuvre, n'est pas étranger à un souci de bienfactureinlassablement proclamé par Auguste Perret, héritage spirituel revendiqué des architectes.
Ensemble très varié (plans, dessins, photographies, correspondances, pièces diverses) documentant l’œuvre de B. et B. Billeter. Concerne essentiellement les affaires suivantes :
- Auberge, à Hauterive
- Bâtiment public indéterminé
- Centre nautique, à Neuchâtel
- Centre scolaire des Coteaux, à Peseux
- Cercle ouvrier
- Chalet Louise Girod, à Arzier
- Cité Cudeau
- Cité des Préels, à Cormondrèche
- Écoles inconnues
- École, à Marin-Epagner
- École, près d'une carrière, à La Coudre
- Église, à Peseux
- Église, aux Parcs
- Fabrique de ressorts d'horlogerie, à Peseux
- Fabrique de ressorts d'horlogerie, à Peseux : photos, [s.d.]
- Fondation Pierre-Eugène Bouvier
- Hôtel Du Peyrou, à Neuchâtel
- Hôtel particulier
- Immeuble "Le serpent", à St-Blaise
- Immeuble de bureau
- Immeuble pour personnes âgées
- Immeuble Runtal, à Neuchâtel
- Immeuble, à Hauterive
- Immeuble, à la rue Bachelin, à Neuchâtel
- Immeuble, au quai Suchard, à Neuchâtel
- Immeuble, dans un parc
- Institut de physique, à l'université, à Neuchâtel
- Lotissement, à la Montagne de Cernier
- Maison A. Blanc, à Cormondrêche
- Maison Berger, à Cormondrêche
- Maison Claude Favarger, à Neuchâtel
- Maison Claude Guilloud, à Muids
- Maison de paroisse
- Maison de week-end B. Fer, à Corcelles
- Maison double
- Maison Ducommun, à Neuchâtel
- Maison Fallot, à Fontainemelon
- Maison Farron, à Neuchâtel
- Maison Froidevaux, à la Chaux-de-Fonds
- Maison Gérard Billeter, à Arzier
- Maison Heyd, à Wavre
- Maison Jean Grisoni, à Cressier
- Maison Kurt Hilpert, à Valangins
- Maison Loup, à Estavayer
- Maison Luther, à Neuchâtel
- Maisons non déterminées
- Maison Perrenoud, à Peseux
- Maison Pierre-Eugène Bouvier, à Estavayer
- Maison Robert, à Montalchez
- Maison Roger Bader, à Auvernier
- Maison Taisch, à Cortaillod
- Maison Veuve, à Serrières
- Maison Wicky, au Landeron
- Maison, à Montalchez
- Maison, avec atelier
- Maisons contigües, à l'avenue de la Lodola
- Maisons, pour la SA Maigrauge
- Montre "Tetra"
- Musée d'art et d'histoire, à Neuchâtel
- Pavillon de jardin
- Pavillon de vacances non déterminé
- Pavillon de vacances V. Stettler, à Enges
- Pavillon Zanesco, à Grandevent
- Poste, à Fontainemelon
- Propriété de Benoit Gaston, à La Chaux-de-Fonds
- Résidence de la rivière, à Luterbach (France)
- Salle de spectacle, à Couvet
- Salles de gym "Pierre-à-Mazel", à Neuchâtel
- Scierie, à Vauseyon
- Temple, à Couvet
- Théâtre, au Mail
- Tribunes, au stade cantonal
- Varia
Dessins concernant plusieurs sujets (grenouille de Milo...).
Diplôme de l'EPFZ décerné à Maurice Billeter en 1936. Tirage officiel.
Affiche pour une exposition de meubles Le Corbusier.
Plan de la ville de Neuchâtel daté de 1827.
Publications:
- l'aluminium et l'art, Pierre Jaquillard
- La femme dans l'art de l'antique, Maximilian Ahren
Recherche historique.
Recherche historique.
Classeur et petit carnet concernant le répértoire des plans.
Copies des certificats établis par Maurice et Béate Billeter pour leurs apprentis.
Formulaires vierges pour les employés et la police des constructions.
Ce dossier contient une photographie du Musée des travaux publics de Perret. Elle est dédicacée et signée.
Archives techniques (plans et dessins relatifs à projets, concours, etc., surtout de villas individuelles et quelques bâtiment scolaire, public ou religieux, dans le Canton de Neuchâtel) et quelques pièces personnelle ou professionnelle (correspondance, diplômes, documents administratifs), et d'enseignement (cours à l'Université populaire neuchâteloise).
Maurice BilleterArchives techniques sur papier (projets d’architecture et d’urbanisme : un asile pour aveugles, des constructions à la place de la Riponne à Lausanne, bâtiments locatifs et scolaires - Cheseaux, Chavannes, Prilly, La Tour-de-Peils, Prangins, Lausanne, Ecublens -, immeubles divers, villas individuelles), administratives (correspondances, devis, soumissions, pièces comptables, pièces diverses), photographiques (photographies de certaines réalisations) et documentation (brochures, directives et recommandations, livres techniques).
Pierre QuilletAlbum de photos présentant les réalisations IGECO.
L'album contient une préface et une table des matières des photos (voir ci-dessous) qui y sont décrites selon les champs suivants : l'année, le lieu, la désignation de l'affaire, le numéro de la photo et le numéro de la page.
Table des matières des photos :
- 1958 - Etoy/VD - Usine IGECO Etoy - IE 51 - 3.1
- 1965 - Lyssach/BE - Werk IGECO Lyssach - IE 27 - 3.2
- 1966 - Volketswil/ZH - Werk IGECO Volketswil - COMET 21'343 - 3.3
- 1966 - Volketswil/ZH - Poutre I normalisée - S+S 147 - 3.4
- 1966 - Volketswil/ZH - Dalle nervurée TT normalisée - S+S 148 - 3.5
- 1966 - Volketswil/ZH - Shed - S+S 43b - 3.6
- 1966 - Bussigny/VD - Centre de distribution "La Placette" - IE 54 - 3.7
- 1966 - Bussigny/VD - Centre de distribution "La Placette" - IE 55 - 3.8
- 1967 - Langenthal/BE - Lagerhaus Geco - IE 37 - 3.9
- 1967 - Langenthal/BE - Lagerhaus Geco - IE 40 - 3.10
- 1967 - Sihlbrugg/ZH - Lagerhalle Sihlbrugg - BeJ IV/2 - 3.11
- 1967 - Enggistein/BE - Filzfabrik - BeJ VI/2 - 3.12
- 1967 - Bern - Elite-Garage - IE 13 - 3.13
- 1967 - La Veyre/VD - Silos à agrégats (centre de fabrication et de distribution de béton et d'enrobés de la Veyre s/Vevey) - S+S 209 - 3.14
- 1967 - Schöllenen/UR - Lawinenschutzgallerie - BeJ XXXVI/7 - 3.15
- 1967 - Bern - Verbindungsgleis SZB - BeJ X/7 - 3.16
- 1967/68 - Genève - Marché de gros Simga SA - S+S 245 - 3.17
- 1968 - Belp/BE - Hochregallager Galactina - BeJ XIII/5 - 3.18
- 1968 - Basel - Brauerei Warteck - BeJ XXIX/1 - 3.19
- 1968 - Chavannes/VD - Bourse aux fleurs - S+S 323 - 3.20
- 1968 - Romanel - Vernand/VD - Supermarché et entrepôt Scana Alimentation SA - S+S 307 - 3.21
- 1969 - Crissier/VD - Butty SA - S + S 331 - 3.22
- 1969 - Rennaz/VD - Centre d'exploitation autoroute Lausanne - St-Maurice - S+S 332 - 3.23
- 1969 - Daillens/VD - Régie fédérale des alcools - S+S 315 - 3.24
- 1969 - Fribourg - Passage inférieur pour piétons quartier de St-Barthélemy - BeJ XXXIX/6 - 3.25
- 1970 - Gunzgen/SO - Lagerhaus Möbel Lang - BeJ XXXV/6 - 3.26
- 1970 - Bière/VD - Halle d'instruction d'artillerie - S+S 353 - 3.27
- 1970 - Fribourg - Parking Beaumont - HiL 66 - 3.28
- 1969 - Courgevaux/FR - Passage inférieur pour cours d'eau - BEJ XXXVIII/16 - 3.29
- 1971 - Tolochenaz/VD - Passage inférieur pour piétons - IE 1 - 3.30
- 1972 - Wimmis/BE - Werkhof von Känel - StW 11.7.73/2 - 3.31
- 1972 - Pfäffikon/SZ - Lagerhalle Firma Pamasol - G+Co 1338/4 - 3.32
- 1972 - Schaffhausen Lagerhalle Gebr. Tanner AG - G+Co 1430/68 - 3.33
- 1962 - St-Prex/VD - Passage supérieur sur autoroute Genève-Lausanne - S+S 32 - 4.1
- 1963 - Bursins/VD - Passage supérieur sur autoroute Genève-Lausanne - S+S 34 - 4.2
- 1964/65 - Granges-Paccot/FR - Autoroute Vevey-Bern, Pont de la Madeleine sur la Sarine - S+S 165 - 4.3
- 1964/65 - Granges-Paccot/FR - Autoroute Vevey-Bern, Pont de la Madeleine sur la Sarine - S+S 111 - 4.4
- 1966/67 - Capolago/TI - Autostrada Chiasso-San Gottardo, Viadotto sopra le Cantine, CaA 2492 - 4.5
- 1966/67 - Capolago/TI - Autostrada Chiasso-San Gottardo, Viadotto sopra le Cantine, CaA 2472 - 4.6
- 1966/67 - Genève - Voie centrale surélevée Fipa - S+S 260 - 4.7
- 1966/67 - Genève - Voie centrale surélevée Fipa - S+S 257 - 4.8
- 1968 - Birmenstorf/AG - Autobahnüberführung - Lenzburg - Baden - BeJ XII/6 - 4.9
- 1968 - Birmenstorf/AG - Autobahnüberführung - Lenzburg - Baden - BeJ XII/6 - 4.10
- 1968 - Uttewil-Elswil/FR - Autobahnüberfürung Vevey-Bern - BeJ XXVI/19 - 4.11
- 1968 - Staffels-Wünnewil/FR - Autobahnüberfürung Vevey-Bern - BeJ XXV/14 - 4.12
- 1968/69 - Chexbres/VD - Autoroute Lausanne-Villeneuve, Pont des Cornilles - GeH 29.10.69, 914/81 - 4.13
- 1968/69 - Chexbres/VD - Autoroute Lausanne-Villeneuve, Pont des Cornilles - GeH 21.5.69, 914/73 - 4.14
- 1969 - Zuchwil/SO - "Brücke Zuchwil" Ueberführung 192 -BeJ XXI/15 - 4.15
- 1970 - Muri bei Bern - Autobahnüberführung (Allmendingerweg) - BeJ XXV/I - 4.16
- 1969/71 - La Lécherette/VD - Route d'accès au petit Hongrin - IE 52 - 4.17
- 1969/71 - La Lécherette/VD - Route d'accès au petit Hongrin - IE 53 - 4.18
- 1971 - Grenchen/SO - "Notbrücke Grenchen-Arch" - IE 35 - 4.19
- 1971 - Grenchen/SO - "Notbrücke Grenchen-Arch" - BeJ XLII/4 - 4.20
Plusieurs séries de photographies :
Immeubles d'habitation :
– Champ Mogins (S+S 184), f. 2
– Adlikon (G+Co 1142/40), f. 2
– DMF (S+S 22), f. 7
– La Gradelle (S+S 214), f. 7
– Giacomettistrasse (BEJ I/45), f. 8
– Pont des Sauges (S+S 319), f. 8
– Hôtel Alpha Palmiers (S+S 312). f. 9
– Müllerwis (G+Co 1127/24), f. 9
– Ile heureuse (S+S 338), f. 10
– Bourdonnette (Gett 16.b.73/13), f. 10
Bâtiments de tous genres et façades :
– Verwaltungsgebäude Losinger (IE 50), f. 11
– Gare de Genève, La Praille (S+S 212), f. 11
– Lommiswil (G+Co 1418/23), f. 12
– Geweberschule und Technikum beider Basel (COMET 71/22'660). f. 12
– Technikum beider Basel (G+Co 1427/14), f. 13
– Gewbwrschule 8G+co 1427/18), f. 13
– ONU (Bertrand 12), f. 14
– BCV (S+S 334), f. 14
– BBC (G+Co 1412/1), f. 15
– Sandoz (G+Co 1434/12), f. 15
– Jelmoli (G+Co 1423/1), f. 16
– Teubenhalde (StW 19.3.73/16), f. 16
– PTT (StW 4.9.73/5), f. 17
– Poussy-Vernier (JSt 12/10), f. 17
– Toyota (G+Co 1324/18), f. 18
– Urdorf (G+Co 1407/32), f. 18
– Cerberus (G+Co 1307/20), f. 19
– Longemalle (GeH 1/22A), f. 19
– Bucherer (HeR 4'573 et a'773), f. 20
– Filzfabrik (BeJ VI/8), f. 22
Construction industrielles :
– Butty (S+S 331), f. 22
Ponts :
– Fipa (S+S 257), f. 28
– Autobahnüberführung (BeJ XXI/11), f. 28
Génie civil :
– Silo dela Veyre (S+S 209), f. 31
– Flumenthal (BeJ XXXI/11), f. 32
Transport :
– Dalles (S+A61), f. 38
Montage
– Urdorf (BaE 35'257), f. 39
Nos 52-300
– JNS, Fribourg, n°52
– Pont de la Madelaine, Friburg, n°165
– En Champ-Mogins, Nyon VD, n° 169
– Gitterbrüstung, n° 197
– Méryna, Meyrin, n° 251
– SBB La Praille, Genève, n° 280
– Kreuzschalung, Regal-Stapellager, n° 291
– Fagel, Regal-Stapellager, Genève, n° 299
– Fagel. Genève, n° 300
Nos I/26-XVI/5 :
– Giacomettistrasse Bern, n° I/26
– Vibriertische Volketswil, n° II/1
– Man Batterien Volketswill, n° II/2
– Man-Batterie Volketswil, n° II/3
– Göhner-Bauten Volketswil, n° III/1
– Lagerhaus Sihlbrugg, n° IV/9
– Turnhalle Bolligen, n° VIII/6
– Turnhalle Bolligen, n° VIII/8
– Verbindungsgleis SZB, N° X/7
– Autobahnüberführung Birmenstorf, n° XII/4
– Autobahnüberführung Birmenstorf, n° XII/8
– Galactina Belp, n° XIII/4
– Galactina Belp, n° XIII/5
– Lagerhaus P. Maier Volketswil, n°XV/1
– EGO-Buürogebäude Volketswil, n° XVI/1
– EGO-Buürogebäude Volketswil, n° XVI/5
Contient également :
– une photographie non identifié
– Collection photos pour prospectus d'entreprise [liste tapuscrite], 07.11.1973, 3 f.
– Tables des matières [liste tapuscrite, photocopie], s. d., 2 f.
– Correspondance (Gulf Contractors Company Ltd, Abu Dhabi, 16.03.1977), 2 f.
– Coupures de presse
- Yverdon : imm. 19. 60 logements 1966/1967
- Nyon : ensemble d'habitation du parc de l’Etraz de Champs-Mogins : 232 logements 1966 1968
- Lausanne : opération "pont des sauges" 476 logements 1967/1969
- Hôtel à Rolle (VD) 32 chambres 1983
- Hôtel à "Chavanne-de-Bogis" 212 chambres + salles 1984/1985
- Bière "Halles d'instruction de l’artillerie" 1970/1971
- Lausanne « Tetra-Park » « Ferme triangulaire » 1983
Ponts préfabriqués :
- Passage supérieur avec béquilles en V, en béton préfabriqué
1.1 Présentation générale
1.2. Présentation DHR M. E. Rey. Service fédéral des routes et des digues
autres articles à ce sujet
1.3 Les réalisations
1.3.1 Pont de la madeleine sur la Sarine (octobre 1979)
1.3.2 Pont de la FIPA, Genève (Mars 1967)
1.3.3 Petit Hongrin (32 ponts) (1969-1971)
1.3.4 Pont sur CFF à Oray (1982)
1.3.5 Le viaduc d'Yverdon (N5 Yverdon -Neuchâtel) (nov.1982)
1.3.6 P.S. sur CFF à Bavois (notes de calcul) (mars 1979)
1.3.7 Parapets pour le viaduc du coudrai déc. 1979
N.1 Autoroute Lausanne-Berne
1.4 Bureau Ing. Schalcher et M.M. Frey / Conseil prof. EPFL Favre liste de références
- Rippenplatten im Industriebau : photos, coffrage, armature
- Fur AG Industrielles Bauen, Lyssach
- Norm TT Rippenplatten
- Werk IGECO AG Lyssach
- Ville de Genève, salle de gym pour l'école Hugo de Senger
- Toiture GAS-T2 Ribeiro Sines/Portugal
- Pour parking, B= 273 cm
- Parking beau salle Beausobre - Morges - b: 255 cm
- Pour garage : B = 6x240 сm = 14,40 m.
- Genève saut-de-mouton CFF b= 300 cm!
- Leichte Rippenplatte B = 119 cm, H=21cm
- Local Möwenpick-extension 1970 –
- Zur Beanspruchung eines TT - Förmigen Dachelementes mit angehängter oblichtzarge + bericht über- messungen
- Passerelle pour l’entrepôt "Carlo Halil" à Aigle
- Centre commercial à Beaumont bâtiment E et P
- Bâtiment SSR à Meyrin (GE)
- Dalle TT B = 300 cm, h = 75 cm
- Dalle TT B= 240cm, h= 60cm
- Usine Electrowatt Genève B = 150 cm ; h= 83 cm
- Atelier pour handicapés Aigle B=225, h=54/62
- Dalle parking Leysin - B = 158 , h= 74 cm
- Dr. Ing. w. Schleeh, Hamburg, die Mitwirkung der Gurtscheibe beim vorgespannten Plattenbalken
- Dr. Ing. Grasshoff, Hannover : Fahrbahnplattenauschnittsmomente zweistegiger Plattenbalkenbrücken
- Dipl. ing. Kauffmann, Stuttgart : Erfahrungen aus Elektronischer Berechnung Auskragender Eckbalkon
- Bâtiment industriel Sierre : Allèges en béton armé préfabriqué
- IGECO 1962 : PLAQUE DE FONDATION PRÉFABRIQUÉE
- IGECO 1970 : PONT SUR LES CFF BEX-MASSONGEX : RC 714E
- IGECO 1971 : BRÜCKE UBER SBB: SCHERMEN WEG-ZOLLGASSE
- IGECO 1971: BRÜCKE STEG GEIDERWEG
- SOUTTER+SCHALCHER ZH, EXPOSITION NAT. LS, PASSERELLE DE SEVELIN. 1963.
- SOUTTER + SCHALCHER : AUTOROUTE GENÈVE-LAUSANNE, PASSAGE SUPÉRIEUR, NOTE DE CALCUL. 1960.
- F. PANCHAUD, ING. DERRON - PONT DE CURNILLES, AUTOROUTE LEMAN 1968 - SECTION 914 -LOT 505 !!
- TAPPY - DUITWEILER 1975. P.S. CHEMIN DE LA TUILIÈRE AUTOROUTE VEVEY-BERNE - SECTION 1201. ST. LEGIER
- VSL-PRÉCONTRAINTE SA. - PONT À SEMSALES AF KW76 - CÂBLES DE PRÉCONTRAINTE 1978.
- A. SPAGNOL 1982 PS " A LA CÔTE ST. JEAN / BALLAIGUES - NOTE CALCUL ET PLAN.
- J.ROSSIER 1981 P.S, de PERVENCHES SECTION 5O5 - AUTOROUTE N.5 YVERDON -NEUCHATEL
- TAPPY - DUTTWEILER 1975. PS. CHEMIN DE PANGIRES AUTOROUTE VEVEY-BERNE. SECTION 1202. COMMUNE ST. LEGIER
Section 505 - Variante d'entreprise
- Vue en plan + coupe longitudinale 505-600A
- Coupe transversale 505-602A
- Plan de détails + précontrainte 505-603A
- Armature de la dalle, travée 34 m, 505-604A
- Coffrage + armature poutre-travée 34 m, 505-605A
- Disposition des appuis et joints
- Aménagements de chantier (ANNEXE 8)
- Calcul statique
- Métré
- Mémoire technique
- Notice explicative: transport et pose des poutres
- Programme des travaux
- Série de prix IGECO
Val Thorens
Funiculaire
Génie Civil
Réalisation Losinger – IGECO
Calculs statiques et plans
2 Route nationales suisses
2.1 Autoroute Vallorbe-Chavornay – N.9 PS. De Bossaye à Orbe : Calcul statique du tablier et plans. 1983
2.2 Pont du TCS Cossonay : Calculs statiques et plans. 1975.
2.3 Département des Travaux Public Vaud Autoroute Lausanne – Berne – RC. 293 - Essais de charge Ing. Piguet et Prof. R. Favre. 1977
2.4 Département des Travaux Public Vaud - Autoroute Lausanne – St. Maurice – PS – RC. 721 - Essais de charge Ing. M. Piguet et Prof. R. Favre 1975
2.5 Articles de spécialités 1968-1999 - 24 articles
Autoroute Lausanne-Berne
Section 141 - Commune d'Essert-Pittet
P.S. chemin A.F. Pré Vallotton sur le canal oriental
Variante d'entreprise
Dossier complet ; mémoire technique ; calcul statique ; métrés et plans
Ce dossier contient plusieurs documents des projets "Göhner 2" et "Schlieren Nord" avec la table des matières suivantes:
1) Plan d'architecte de l'appartement-type
2) Statique: Exemples de calcul statique et servitudes technologiques
3) Plans de préfabrication avec le découpage en éléments, le positionnement des joints, des liaisons, des chaînages propres au système ainsi que l'étayage.
4) Recueil des joints avec incorporés de liaison propres au système
5) Liste des incorporés de liaison propres au système
6) Recueil des incorporés de liaison propres au système
7) Liste des incorporés de manutention et détayage propres au système
8) Recueil des incorporés de manutention et détayage propres au système
9) Liste des éléments préfabriqués pour l'appartement-type
10) Recueil des plans (coffrage et armature) d'éléments préfabriqués pour l'appartement-type
Ainsi que le préface suivant:
- Le but de ce classeur est de mettre à disposition des collaborateurs d'IGECO un condensé technique des affaires susmentionnées considérées comme documentation.
- Ces documents sont classés par ordre chronologique d'exécution selon la table des matières soit: plans d'architecture, plans de préfabrication, dessins des joints et incorporés, plans de coffrage et d'armature des éléments.
- Ces documents de travail sont la propriété de l'entreprise et doivent être rendus en cas de changement de fonction ou de départ.
Dossier de textes, plans et photographies présentant le processus de préfabrication et montage d'une tour de stockage par IGECO.
Desserich + Funk (Ingénieur); IGECO SA (Entreprise de construction); L'Oréal (Maître d'ouvrage); Roulier Michel (Architecte).
Dossier composé de détails sous forme de dessins accompagnés de textes des différents systèmes IGECO.
Ce dossier contient plusieurs documents différents concernant le projets suivants:
- l'article de D. W. Wrixon de la construction des poutres triangulées pour le dépôt de bus à Lausanne
- plusieurs feuilles des calculations
- divers articles concernant des sujets similaires (construction des halles, béton armé, etc.)
Ce dossier contient le deuxième classeur nommé "Triangulated Beams of the Lausanne Omnibus Depot, by D. W. Wrixon" concernant plutôt des plans et des photos du chantier pour la construction du toit du dépôt de bus à Lausanne avec le répertoire suivant:
i) appendix VII Plans
k) appendix VIII Photos
Ce dossier contient le premier classeur nommé "Triangulated Beams of the Lausanne Omnibus Depot, by D. W. Wrixon" concernant plutôt des calculations pour la construction du toit du dépôt de bus à Lausanne avec le répértoire suivant:
a) répertoire
b) feuille technique
c) appendix I Projet italien
d) appendix II Etude de réalisation
e) appendix III Coûte relatif
f) appendix IV Projet procédé
g) appendix V Calculations définitives
h) appendix VI Extraits
(avec : Décoppet G.; IGECO SA; Pizzera-Poletti SA; Précontrainte SA; Wrixon D. W.)
Plans de la typologie et d'étages.
Plans d’exécutions
- Plans d'étages
- 1:50 F
- 50:100 D+M
- 100:150 Z+V+U
- 150:200 B
- 200:250 At.
- 300: Foyer et escaliers de secours Block 7
Ce dossier contient les documents suivants concernant la statique:
- des protocoles de mise en tension des cables de Précontrainte SA
- plans et calculs concernant la statique
- correspondance d'ingénieurs
Ce dossier contient le classeur concernant un quartier d'habitation avec la table des matières suivantes:
1) Plan d'architecte de l'appartement-type
2) Statique: Exemples de calcul statique et servitudes technologiques
3) Plans de préfabrication avec le découpage en éléments, le positionnement des joints, des liasons, des chaînages propres au système ainsi que l'étayage.
4) Recueil des joints avec incorporés de liaison propres au système
5) Liste des incorporés de liaison propres au système
6) Recueil des incorporés de liaison propres au système
7) Liste des incorporés de manutention et détayage propres au système
8) Recueil des incorporés de manutention et détayage propres au système
9) Liste des éléments préfabriqués pour l'appartement-type
10) Recueil des plans (coffrage et armature) d'éléments préfabriqués pour l'appartement-type
Ainsi que le préface suivant:
- Le but de ce classeur est de mettre à disposition des collaborateurs d'IGECO un condensé technique de l'affaire susmentionnée considérée comme une application modèle du système IGECO.
- Ces documents sont classés par ordre chronologique d'exécution selon la table des matières soit: plans d'architecte, plans de préfabrication, dessins des joints et incorporés, plans de coffrage et d'armature des éléments.
- En conséquence pour de nouvelles affaires et dans la mesure du possible, il est recommandé d'utiliser les solutions techniques proposées ainsi que le mode de représentation unifié.
- Ces documents de travail sont la propriété de l'entreprise et doivent être rendus en cas de changement de fonction ou de départ.
Ce dossier contient un classseur avec la table des matières suivante:
1) Moyens de publicité les utilisez-vous?
2) Prospectus d'entreprise
3) Références
4) Prospectus de produit
5) Prospectus d'ouvrage
6) Tirés à part, feuilles CRB, ect.
7) Table des matières du catalogue, démarches publicitaires, annonces publicitaires dès 1974
8) Liste des films, liste des diapositives
9) Action Nouvel-An
10) Divers
Ainsi que le préface suivant:
- Ce cvlasseur donne aperçu de l'activité publicitaire et des moyens de publicité actuels, mais aussi passés et nouvellement prévus.
- Chaque collaborateur qui est en contact avec des clients, doit connaître exactement le contenu de ces moyens de publicité afin de pouvoir les engager d'une manière optimale dans son action vis-à-vis des clients.
- La réserve centrale de ces moyens de publicité se trouve à Berne où se situe également la centrale des envois. Dans les entreprises n'est prévue qu'une petite quantité.
- Ces documents de travail sont la propriété de l'entreprise et doivent être rendus en cas de changement de fonction ou de départ.
Classeur Nr. 5.0.2
« Viadukt Grenchen »
Documentation destinée aux collaborateurs d’IGECO. Condensé technique de l’affaire « Viadukt Grenchen » considérée comme une application modèle du système IGECO
- Plan d'architecte de l'appartement-type
- Exemples de calcul statique et servitudes technologiques
- Plans de préfabrication avec le découpage en éléments, le positionnement des joints, des liaisons, des chainages propres au système ainsi que l’étayage. Rez /étage normal/toiture/coupes
- Recueil des joints avec incorporés de liaison propres au système
- Liste des incorporés de liaison propres au système
- Recueil des incorporés de liaison propres au system
- Liste des incorporés de manutention et d’étayage propres au système
- Recueil des incorporés de manutention et d’étayage propres au système
- Liste des éléments préfabriqués pour l'appartement-type
- Recueil des plans (coffrage et armature) d'éléments préfabriqués pour l'appartement-type
Classeur Nr. 5.0.3
« Göhner 3»
Documentation destinée aux collaborateurs d’IGECO. Condensé technique de l’affaire « Göhner 3» considérée comme une application modèle du système IGECO.
- Plan d'architecte de l'appartement-type
- Exemples de calcul statique et servitudes technologiques
- Plans de préfabrication avec le découpage en éléments, le positionnement des joints, des liaisons, des chainages propres au système ainsi que l’étayage. Rez /étage normal/toiture/coupes
- Recueil des joints avec incorporés de liaison propres au système
- Liste des incorporés de liaison propres au système
- Recueil des incorporés de liaison propres au système
- Liste des incorporés de manutention et d’étayage propres au système
- Recueil des incorporés de manutention et d’étayage propres au système
- Liste des éléments préfabriqués pour l'appartement-type
- Recueil des plans (coffrage et armature) d'éléments préfabriqués pour l'appartement-type
Dossier 1 :
- Protection contre le bruit de la circulation.
- considérations générales : revue "chantier" 176
- revue " journal de la construction" in. Jacques Dentan
- mur - antibruit à Morges
- Eternit - mur-antibruit
- Documentation produit
- Prospectus " Durisol"
- Prospectus " Faverit"
- Mur pare-bruit « Evergreen » de laboratoire fédéral de Dübendorf
Dossier 2 : Ingénieur Tibere E. Wiesel
- Documentation "Faverit"
- Documentation "Durisol"
Avis de commande - Lancement - Planning
Correspondance
PV + Notes internes
Règlement financier
Contrôle distrib. des plans + Bulletins de livraison
Plans d’exécution IGECO
Plans visés
Plans du Fournisseur d’ascenseur
Plans d'architecte
Commande
Contrat
Offre
Documents annulés
Originaux
« St. Cergue G2 »
Classeur Nr. 5.0.6
Condensé technique de l’affaire « St. Cergue G2 » considérée comme une application modèle du système IGECO.
Les documents sont classés par ordre chronologique d'exécution selon la table table des matières soit : plans d'architecte, plans de préfabrication, dessin des joints et incorporés, plans de coffrage et d'armature des éléments.
Plans détails joint horizontal (exemple), plans de préfabrication, plans de liaisons propres au système
Le but de ce classeur est de mettre à disposition des collaborateurs d'IGECO le plus grand nombre possible de joints bâtiment. Classeur Nr. 4.2.1
Cette classification présente :
- Les joints horizontaux avec dalle appuyée, dalle non appuyée, escalier, balcon, gaine, traditionnel
- Les joints verticaux avec murs et façades
- Les joints anciens dont la solution technique est dépassée, restent dans le classeur "à titre historique"
IGECO-Prospectus
Documentation générale
Calculs statiques
Ce dossier contient deux prospectus des concurrents des éléments préfabriqués: Prelco et Lombarda (I)
Ce dossier contient plusieurs plans et lettres concernant l’agrandissement du bâtiment administratif d'IGECO à Etoy.
Avec :
- SOCCO : société commerciale pour la construction SA - bureaux techniques architectes et ingénieurs à Fribourg et Lausanne ;
- Jacques Empeyta : architecte EPFL - Lausanne ;
- Commune d'Etoy
Ce dossier contient un classseur avec la table des matières suivante:
1) Moyens de publicité les utilisez-vous?
2) Prospectus d'entreprise
3) Références
4) Prospectus de produit
5) Prospectus d'ouvrage
6) Tirés à part, feuilles CRB, ect.
7) Table des matières du catalogue, démarches publicitaires, annonces publicitaires dès 1974
8) Liste des films, liste des diapositives
9) Action Nouvel-An
10) Divers
Ainsi que le préface suivant:
- Ce cvlasseur donne aperçu de l'activité publicitaire et des moyens de publicité actuels, mais aussi passés et nouvellement prévus.
- Chaque collaborateur qui est en contact avec des clients, doit connaître exactement le contenu de ces moyens de publicité afin de pouvoir les engager d'une manière optimale dans son action vis-à-vis des clients.
- La réserve centrale de ces moyens de publicité se trouve à Berne où se situe également la centrale des envois. Dans les entreprises n'est prévue qu'une petite quantité.
- Ces documents de travail sont la propriété de l'entreprise et doivent être rendus en cas de changement de fonction ou de départ.
Ce dossier contient un classeur comportant la table des matières suivante:
1) Offres soumises par Igéco avec résultats négatifs
2) Commandes à Igéco
3) Adjucations 1974
4) Adjucations 1975
5) Professionels du béton préfabriqué en Suisse
6) Entreprises générales de construction en Suisse
7) Rapport sur la concurrence E. Bernasconi AG - Element AG
8) Rapport sur la concurrence Stahlton
9) Rapport sur la concurrence Peikert
10) Rapport sur la concurrence Brun
11) Rapport sur la concurrence Brodtbeck
12) Rapport sur la concurrence Stüssi
13) Rapport sur la concurrence Wey Elementbau AG
14) Rapport sur la concurrence SAW Spannbetonwerk AG Widnau
15) Liste d'adresse des clients potentiels
16) Rapport sur la concurrence Prelco-Induni
Ainsi que ce préface:
– Les documents rassemblés dans ce classeur doivent aider
a) à choisir les clients potentiels chez lesquels existe une réelle chance d'acquisition
b) à connaître mieux notre concurrence afin de trouver et développer NOS points forts
c) à toucher avec garantie nos clients et à les suivre activement
– L'élaboration de ces documents exige la collaboration active de TOUS les collaborateurs qui sont en contact avec les clients et concurrence.
– Ces documents seront complétés par la mise en circulation de NOUVELLES DU MARCHE.
– Ces documents de travail STRICTEMENT CONFIDENTIELS sont la propriété de l'entreprise et doivent être rendus en cas de changement de fonction ou de départ.
SIA- FIB
Séminaire CGI sur la conception et l'exécution des joints d'étanchéité
Compte rendus des différents groupes de travail ayant participé à la journée d'étude de la GCI e 25.01.1973:
- W. Bartels et O. Narbel : Principes généraux - Zürich Janvier 1974
- CR. Monod : Comment concevoir et dimensionner un joint, tenant compte du mouvement
- T-Wiesel : Comment concevoir et réaliser un joint ventilé ?