Dossier provenant d'un cartable portant la mention "Projets"; Brugger et Trivelli ne sont pas classés.
Projet et tirage des planches du concours. Dossier provenant d'un cartable portant la mention "Projets"; Brugger et Trivelli ne sont pas primés.
Projet (concours ?) dont la devise est "ABC".
Tiré d'un cartable ayant servi initialement au documents de l'objet " Radio-Studio SA" et modifié en un dossier intitulé "divers".
Comprend les huit planches originales de ce rendu au concours, ainsi que le plan de situation fourni par la ville. Tiré d'un cartable ayant servi initialement au documents de l'objet " Radio-Studio SA" et modifié en un dossier intitulé "divers".
Relevés, plans anciens, interventions mineures de Brugger (ex.: couverture corps central en 1936)
Comprend des calques et des tirages, nombreuses études et plans (projet) pour l'étude de l'entre-sol et d'un élément de liaison avec la halle des fêtes.
Divers projets de transformation de l'intérieur, des abords et des éléments de circulation, calques et tirages héliographiques, nombreuses études de mobilier.
Le dossier contient aussi bien des éléments de projet pour les aménagements extérieurs que pour le mobilier. Architecture alimentaire + cosmétique
Divers plans liés à des interventions techniques
Calques originaux pour cette petite construction.
Dossier d'exécution, tirages héliographiques.
Dossier d'exécution, tirages héliographiques.
Dossier d'exécution, tirages héliographiques.
Tirages héliographiques.
Dossier d'exécution, tirages héliographiques.
Dossier d'exécution, tirages héliographiques.
Dossier d'exécution, tirages héliographiques.
Dossier d'exécution, tirages héliographiques.
Dossier d'exécution, tirages héliographiques. Mention d'après J. Gros, architecte.
Dossier d'exécution, tirages héliographiques, installation d'abris PC
Dossier d'exécution, tirages héliographiques.
Plan d'exécution, tirage héliographique.
Dossier d'exécution, tirages hélio.
Dossier d'exécution. tirages héliographiques, dossier du chauffage.
Dossier d'exécution, tirages hélio, dossier chauffage et eau chaude.
Construction d'un immeuble commercial et d'habitation, plan d'exécution: tirages héliographiques.
Projet d'agrandissement des ateliers.
Comprend le dossier d'exécution pour cet objet.
Comprend le dossier d'exécution pour cet objet ainsi que des photographies et un mémoire.
Comprend le dossier d'exécution pour cet objet.
Comprend les plans d'exécution pour cette affaire.
Comprend le dossier d'exécution de cette affaire.
Comprend le dossier d'exécution de cet objet.
Projet pour la transformation du bâtiment de M. Reverchon
Projet de transformation
Comprend les plans d'une intervention mineure
Comprend les plans d'exécution pour cet objet, y compris détails à l'échelle grandeur.
Dossier d'exécution au 1:50, deux dossiers.
Dossier d'exécution de cet objet, comprend aussi un relevé de la fontaine de la Place Saint-Laurent (mars 1936)
Dossier d'exécution 1:50.
Comprend une perspective à vol d'oiseau.
Cet ensemble provient du cartable N° 29 ayant contenu des documents concernant probablement l'activité de Charles Brugger chez Emil Faesch, architecte à Bâle, et éventuellement chez Prince et Béguin à Neuchâtel. Avant-projet pour une maison d'habitation.
Cet ensemble provient du cartable N° 29 ayant contenu des documents concernant probablement l'activité de Charles Brugger chez Emil Faesch, architecte à Bâle, et éventuellement chez Prince et Béguin à Neuchâtel. Il contient des tirages héliographiques bleus, deux photographies et un détail de façade.
Comprend quatre planches montées sur carton présentant une partie des plans de cet objet et une élévation.
Comprend un ensemble très complet de plans, coupes et détails pour cet immeuble, probablement construit par Epitaux et transformé par Brugger en 1943, beau dossier.
Comprend quatre planches aquarellées pour des détails de menuiserie ainsi que sept dessins à la plume. deux vues intérieures du Palace, deux perspectives d'ensemble, une vue vers le sud-est, une vue de la tour Lanterne de la cathédrale, une vue du chevet de l'Eglise Saint-François.
Comprend trois tirages héliographiques de plans.
Dossier provenant d'un cartable portant la mention "Projets".
Dossier provenant d'un cartable portant la mention "Projets".
Dossier provenant d'un cartable portant la mention "Projets". Tirages héliographiques de plans et des façades; pourrait être rapproché des travaux publiés par Josef Austermayer, dont on sait qu'il a travaillé pour Trivelli.
Divers projets probablement non réalisés. Dossier provenant d'un cartable portant la mention "Projets".
Projet coupes, plans et façades d'un hôtel avec service dans le basement. Dossier provenant d'un cartable portant la mention "Projets".
Dossier comprenant des tirages héliographiques bleus et des calques originaux de la construction de la banque. De nombreux tirages comprennent le timbre du bureau Hennebique de Bruxelles et les numéros d'affaire du consortium. Très nombreux détails de structure. Plans originaux signés F. Isoz et S. De Mollins
Cet ensemble provient du cartable N° 29 ayant contenu des documents concernant probablement l'activité de Charles Brugger chez Emil Faesch, architecte à Bâle, et éventuellement chez Prince et Béguin à Neuchâtel; comprend des études, relevés et exercices effectués à Bâle et à Neuchatel. Parmi ce matériel on trouve des relevés des façades de la gare de Bâle, une étude pour celle de Lausanne, des plans d'une villa pour M. de Reynier à Neuchatel, divers détails et dessins, des exercices d'élèves pour des motifs décoratifs ainsi que des dessins libres sur le motif.
Archives techniques (originaux et tirages héliographiques de réalisations, transformations et concours : villas individuelles, locatifs et bâtiments divers) et personnelles (pièces personnelles ou de sa formation).
Charles BruggerNotes, esquisses.
Notes des cours donnés par Maurice Billeter à l'université populaire ainsi qu'à la FAS (1982) portant sur les sujets suivants: la saline royale de Ledoux (1970), le Parthénon (7.12.1972), architecture classique en pays de Neuchâtel (1973), architecture médiévale, etc.
Notes de cours manuscrites d'un cours donné par Maurice Billeter au Locle.
Ce grand édifice universitaire fut inauguré le 2 novembre 1960. Il s'agit d'une longue barre comptant trois étages en plus du rez-de-chaussée. Les quatre niveaux, desservis par un couloir central, abritent de part et d'autre de ce dernier les bureaux et les laboratoires dont le dimensionnement résulte librement du module régulier de fenêtres en façade. Les espaces plus grands qui ne peuvent être soumise à ce rythme constructif régulier sont situés d'une part à la fin de la composition, dans la dernière travée de l'édifice qui bénéficie d'un plan élargi et d'autre part dans le corps indépendant, sur pilotis fuselés à facettes, de la grande aula dont le rez de chaussée ainsi libéré sert de porche d'entrée couvert au bâtiment principal. Dans le même but, les premières travées de la barre sont également surélevées, comme un pont, sur de grands cadres de béton dont la géométrie des piles est, dans la logique de leur spécificité statique, distincte des pilotis de l'aula. L'expression de cette différence est reprise en façade, les allèges des fenêtres de cette fraction de bâtiment étant réunies en une poutre continue alors que les allèges des autres fenêtres participent à la définition du module de façade. Ces dernières, exécutées en béton, sont caractérisées par la répétition mécanique du module de fenêtre alors que les pignons sont obturés d'un revêtement de peierre calcaire jaune régionale.
Plans, coupes. Cette maison présente une volumétrie relativement complexe, en particulier la toiture à pulsieurs pans, décallés au faîte ou inversé, qui n'est pas sans ressemblance avec certaines maisons particulières réalisées antérieurement au Tessin par Rino Tami. Dans une telle configuration, les pignons se donnent à lire comme façades principales, cas peu fréquent dans l'oeuvre des architectes. Les ouvertures forment une composition aléatoire en équilibre asymétrique et sont disposées selon leur fonction: fenêtres pour les chambres, baies vitrées abritées d'avants-toits pour le séjour, jours de souffrance pour les locaux de service. Le plan est clairement articulé: le vestibule traverse latéralement la maison et articule clairement le plan entre les pièces de nuit à l'est et les espaces de jour à l'ouest. Le séjour est surmonté d'une "librairie" en mezzanine.
Ce grand édifice universitaire fut inauguré le 2 novembre 1960. Il s'agit d'une longue barre comptant trois étages en plus du rez-de-chaussée. Les quatre niveaux, desservis par un couloir central, abritent de part et d'autre de ce dernier les bureaux et les laboratoires dont le dimensionnement résulte librement du module régulier de fenêtres en façade. Les espaces plus grands qui ne peuvent être soumise à ce rythme constructif régulier sont situés d'une part à la fin de la composition, dans la dernière travée de l'édifice qui bénéficie d'un plan élargi et d'autre part dans le corps indépendant, sur pilotis fuselés à facettes, de la grande aula dont le rez de chaussée ainsi libéré sert de porche d'entrée couvert au bâtiment principal. Dans le même but, les premières travées de la barre sont également surélevées, comme un pont, sur de grands cadres de béton dont la géométrie des piles est, dans la logique de leur spécificité statique, distincte des pilotis de l'aula. L'expression de cette différence est reprise en façade, les allèges des fenêtres de cette fraction de bâtiment étant réunies en une poutre continue alors que les allèges des autres fenêtres participent à la définition du module de façade. Ces dernières, exécutées en béton, sont caractérisées par la répétition mécanique du module de fenêtre alors que les pignons sont obturés d'un revêtement de peierre calcaire jaune régionale.
Plan N° 4711 : Maison de Monsieur A. Taisch à Cortaillod : élévations et gabarits (1:200), Plan de situation (1:500), 13.4.1962 .
Sanction des autorités communales du 14 juin 1962.
La cité des Préels est composée de sept maisons familiales groupées. Le maître de l'ouvrage est la SA Rossetti et Zuttoni à Cormondrèche.
plans, notes, esquisses concernant la transformation de la scierie
plans, notes, esquisses concernant la transformation de la cuisine
Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.
plan de situation, élévation et plans des 3 niveaux
Façade, héliocopie avec rehauts au patel. Sorte d'orangerie.
tirage héliographique d'une façade (1/50)
1 planche aquarellée collée sur pavatex. Transformation du rez-de-chaussée d'un ancien immeuble en un cercle ouvrier dans un village industriel du cantiôn de Neuchâtel.
Tirages héliographiques, correspondance. Petit pavillon de caractère moderne avec toit plat et une seule grande pièce
1 prise de vue d'une planche restée en la possession du fils de l'architecte, Jean Bernard Billeter à Genève. Complexe composé de deux bâtiments.
1 cahier de présentation du projet (à but promotionnel), en couleur, sur papier fort, glacé. Immeuble de caractère moderne. Maître de l'ouvrage: Monsieur E. Wicky, ingénieur.
Croquis et notes manuscrites pour la restauration/transformation d'une maison ancienne avec un atelier d'artiste. Cet objet est la transformation/restauration d'une maison ancienne comprenant un atelier d'artiste. Aucune indication supplémentaire permettant d'identifier le commanditaire ou l'emplacement.
Complète 0120.04.0075. Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
Plans et coupes d'exécution. Cet ensemble est composé de deux volumes reliés par un corps plus bas. Le grand volume abrite deux salles superposées, la salle inférieure étant partiellement enterrée. Ce projet est une des réalisation des architectes qui, à première vue, emprunte les plus clairement son langage à Auguste Perret: expression du système porteur en ossature en béton, éléments d'obturation également en béton. Toutefois, les références classiques du maître sont ici fortement simplifiées, voire rationalisées. En façade, les colonnes du bâtiment ne reposent pas sur un soubassement, conformément au modèle classique mais elles jaillissent, logiquement par rapport à la coupe de l'édifice qui est semi-enterré, du sol. De même, l'ossature n'est pas hiérarchisée en ordres; les poteaux d'angles sont indifférenciés dans leur géométrie; les corniches et les gouttières sont confondues. A l'intérieur des salles de gymnastique, le rapport étroit et dépendant qui caractérise le système structurel et le système d'éclairement naturel confirme la limpidité du système constructif.
deux contrecalques de la façade et un relevé. L'hôtel Du Peyrou est le plus beau palais urbain de Neuchâtel, révélateur de l'influence du classicisme dans cette ville aux 17e et 18e siècles. La coupe est intéressante, avec une adaptation très sensible au sol en forte dénivellation à cet endroit. Dans les environs subsiste l'orangerie et une portion du parc aujourd'hui transformé en jardin urbain. Le reste à été loti.
Divers documents relatifs au projet, entre autres une belle axonométrie du système porteur par chevalets. Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957
quelques plans constructifs
Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.
perspectives intérieures, un plan masse de Peseux
Ce projet, construit sur un site en pente, est divisé en plusieurs parties. Il a fait l'objet d'un développement par étapes et propose un fractionnement de la construction en fonction du programme scolaire, les différentes activités liées à l'enseignement recevant chacune un corps bâti indépendant: école générale, école ménagère, classes enfantines, gymnase. L'ensemble de la parcelle se voit ainsi structuré en diverses terrasses articulées en un système complexe de venelles, de placettes arborées et d'escaliers, dont le caractère général est organique (v. plan masse). Ce parti a le mérite d'éviter les volumétries massives et élevées, favorisant ainsi une intégration discrète dans le site et autorisant des vues panoramique ou biaises aux bâtiments successifs. Les façades, par l'expression de la structure et certains détails constructifs, ne sont pas sans rapport avec l'architecture d'A. Perret, ce qui est insolite par rapport au plan masse organique et à la volumétrie qui s'intègre dans la géographie du site. Le centre sportif est composé d'un grand corps plat semi-enterré et d'une palestre extérieure. La strucure portante de cette salle est composée de poutres précontraintes qui s'appuient côté nord sur le mur de soutènement et côté sud sur des piliers extérieurs, la façade étant largement ouverte sur l'extérieur. Il est intéresant de constater que le rythme des subdivisions des fenêtres est alterné par rapport aux piliers porteurs. Auguste Perret, que Maurice Billeter revendique comme maître, ne recourre jamais à ce disposotif, qui sera par contre largement utilisé par Le Corbusier lequel le développera jusqu'à une totale indépendance des deux systèmes.
2 plans
informations dessinées relatives à la transformation de la ferme de Monsieur Claude Guillard, au Muids, et à un immeuble d'appartements pour personnes âgées, à Neuchâtel, dessins portant l'ancienne cote UPR
dessins relatifs aux bâtiments portant les anciennes cotes MJC, ECB
Cette maison, construite dans le voisinnage immédiat du bourg médiéval, est un pavillon dont la volumétrie évoque un bungalow. L'habitation se développe sur un seul niveau, elle est couverte d'une toiture à deux pans inversés. Les façades de la partie séjour sont largement ouvertes, les grandes baies vitrées toute hauteur sont protégées par un auvent car elles sont disposées en retrait de la ligne définie par la limite du toit. Les fenêtres standardisées des chambres sont détachées des pans de murs crépis par le linteau suspendu et le contrecoeur de béton qui en font des blocs structurellement indépendants dans le but d'éviter les fissures qui apparaissent habituellement à ces endroits stratégiques avec une mise en oeuvre de maçonnerie traditionnelle où les fenêtres sont construites comme des percements dans l'appareil continu.
Dessins en lien avec la construction de l'église. Programme: église d'environ 300 places, avec tribune pour le choeur, clocher pour trois cloches et locaux d'oeuvres. Une cure et une petite école, prévues en seconde étape, ne sont pas encore construites.
Situation: le terrain ets un vaste rectangle dont le petit côté Est borde la rue Ernest Roulet qui rejoint, en ligne droite, l'artère principale du village, à deux cents mètres de là. Les maisons qui l'entoure, relativement hautes, ne forment pas un cadre très remarquable; seule une vue en échappée en direction de la Trouée de Bourgogne méritait d'être réservée. Une route projetée sur la parcelle empêche toute construction en bordure du long côté Sud.
Accès: l'accès par la rue Ernest Roulet s'imposait si impérativement que l'église n'est pas orientée. Le clocher, dressé en bordure de trottoir, annonce l'église, édifiée en retrait et s'ouvrant sur un large parvis. La déclivité du terrain a permis de loger des locaux d'oeuvres sous l'église, à niveau du terrain.
Construction: L'édifice est traité avec une simplicité égale dans le choix des formes et des matériaux. A part les travaux de serrurerie et les cérpis sur les murs de brique, qui sonts peints, tous les matériaux se présentent sous leur aspect naturel; ce qui n'exclut pas, au contraire, des jeux de contratse entre le béton, d'un gis assez froid, et le ton chaud de la pierre jaune.
Les murs pignons, en calcaire du pays, et une ossature de béton, composent la structure. La nef est couverte d'un voile parabolique, très proche du segment de cercle, tendu d'un pignon à l'autre, et les bas-côtés d'une dalle portée par des chevalets montant de fond. A chaque chevalet correspond un appui de ferme de la charpente qui ne touche pas le voile. Les murs gouttereaux ne constituent qu'une enveloppe.
Les portes, les confessionnaux et le garde-fou de la tribune sont de chêne ciré, les bancs et les lames qui protègent l'absorbant phonique du mur de fond de la tribune, en sapin.
Comme tout est disposé pour mettre le choeur et particulièrement l'autel en évidence, entre le lanterneau qui l'inonde de lumière et, par des projecteurs, assure le même service durant les offices du soir, les matériaux sont ici les plus luxueux. Le dallage d ela nef, du même dessin mais moins brillant, est composé de rocs et de marbres divers, blancs, gris, ocres, jaunes, rosés, avec quelques éléments de Collombey. Le crucifix et l'agneau pascal du tabernacle sont du sculpteur André Ramseyer, et la clef du médailleur Roger Huguenin.
Werk Heft 6, Juni 1957